jeudi 21 mai 2009

INTERVIEW CHOC DU TEMOIN FRANCAIS QUI A RECONNU FIONA (4 ANS) DANS DES FETES PEDOPHILES

TEMOIGNAGE DU TEMOIN FRANCAIS:

« J’ai été adoptée à cinq ans et j’ai commencé à vivre ces horreurs à l’âge de sept ans. J’ai subi des abus par mes parents adoptifs, mère et père. Au début, c’était des approches délicats, puis de plus en plus terribles. De victime, je suis également devenue abusante. Cela a été un parcours de pressions psychologiques. Ils te font croire qu’il s’agit d’une situation normale. A un certain moment, j’ai constaté que mon frère était en train de vivre la même tragédie. Ce n’était plus possible. Je me suis adressée à une association internationale reconnue et qui a son siège à Paris ».

Comment est ramifiée et structurée cette loge de pédophiles ?
« Il s’agit d’une organisation internationale avec une hiérarchie bien précise. Elle a une forme pyramidiale. Au somment de tout, il y a un chef qui commande et dicte les ordres du haut. Puis, il y a les responsables nationaux, qui à leur tour, font filtrer les directives dans différents pays. La communication voyage à travers internet, avec des codes bien précis ».

Myriam, vous êtes témoin dans le procès sur le cas Maoloni. Vous avez déclaré avoir rencontré les enfants et les Antonini, père et fils. Est-ce vrai ?
« Oui, je le confirme et je ne changerai pas une virgule de mes déclarations ».

Dans quel contexte, vous avez vu les enfants et les sieurs Antonini ?
« Je les ai rencontrés oui, mais j’ai vu seulement la fille aînée de Madame Maoloni. Je l’ai croisée dans ce qu’ils appellent, les cérémonies sexuelles. Les rencontres ont eu lieu en Belgique, en France, en Italie et en Allemagne. Dans ces contextes, les enfants subissent des abus par des personnes importantes et qui ont un certain pouvoir. »

Qui fréquente ces rencontres ?
« Ce ne sont pas des ouvriers. Ce sont des personnes aisées, politiciens, gens de pouvoir et qui ont de l’argent. C’est pour cette raison que la justice n’avance pas. Parce qu’il existe des protections importantes autour de ce réseau ».

Qui étaient tes parents adoptifs ?
« Mes parents étaient aisés ».

Comment s’organisent ces rencontres ?
« Le chef de l’organisation appelle les subordonnés au niveau national. Ils apportent aussi les enfants. Les communications arrivent sur internet, avec des codes bien précis ».

Qui sont les enfants victimes du réseau ?
« La grande majorité des enfants qui disparaissent sont des mineurs abusés dans ce réseau de pédophiles internationaux. Il y a des personnes payées pour enlever les enfants. Les victimes sont choisies sur base de critères précis, comme la couleur des cheveux et des yeux ».

Rentre t-on dans ce réseau seulement pour l’argent ?
« Non, pour le plaisir et l’argent ».

Comment surviennent ces rencontres ?
« Ce sont des cérémonies, comme celle de l’habit de mariée. Elles se basent sur des rituels précis. Ce ne sont pas uniquement les enfants qui doivent être travestis, les adultes le font aussi. »

Combien de fois avez-vous participé à ce type de rencontres et ou’ ?

« Combien de fois j’y ai participé, je ne saurais pas le dire. De nombreuses fois. Je suis allée à des rencontres en Italie, en Belgique, en France, au Luxembourg et en Allemagne ».

En Italie, ou’ ?
« Dans la zone de Rome et de Pise, en ville et régions voisines ».

Pourquoi l’on ne parle jamais de ces réseaux de pédophilie ?
« On ne se préoccupe pas de la pédophilie car il y trop d’implications politiques et de conséquentes protections. Il est important de comprendre que ce phénomène représente une urgence grave. Tous les enfants sont en danger ».

Vous êtes en train d’écrire un livre, est-ce vrai ?
« Oui, mais personne ne veut assumer le risque d’éditer mon livre. »

Le motif ?
« Le même pour lequel la justice belge fait semblant que le problème n’existe pas ».

Vous avez témoingné en déclarant avoir vu la fille aînée de Madame Maoloni participer à ces rencontres, mais la justice belge ne vous a jamais entendue.
« Personne ne m’a appelée en Belgique pour écouter mon témoignage ».

Quand vous êtes venue la première fois en Italie, vous avez perdu votre ordinateur et il vous a été rendu sans disque dur. Que contenait-il ?
« Il y avait le dossier pénal, avec mes preuves ».

Avez-vous reçu des menaces ?
« Oui, j’ai reçu des menaces et ma voiture a été objet d’actes de vandalisme. Ils m’avaient détruit les freins ».

Vous avez aussi reçu un coup de téléphone de Rocco Antonini, le père des enfants ?
« Oui, j’ai été menacée au téléphone par Rocco. Il m’a dit qu’il me tuerait ».

Vous avez peur et que voulez-vous faire encore ?
« Oui, j’ai une peur au quotidien pour moi et pour les personnes que j’aime. C’est une bataille. Je revis l’horreur de ces violences jour après jour. Mais, je ne veux pas m’arrêter. Pour aider les enfants qui sont victimes de ce drame. »

Un des maris des inculpés dans le cas de Rignano Flaminio a dit qu’il n’existe pas un réseau international de pédophiles, que ce sont des histoires….
« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage… »


INTERVIEW A LA RADIO "CENTRO SUONO SPORT - ROMA", LE 20 FEVRIER 2009.
POUR ECOUTER L'INTERVIEW, ALLER SUR LE BLOG SUIVANT:

http://www.dalpaesedeibalocchi.com/?p=2251
http://www.marione.net/notizie/legginews.php?Action=Full&NewsID=3649

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