mercredi 13 mai 2009

ASSOCIATION PRINCESSE DE CROY

Fausses erreurs judiciaires type en matière de pédocriminalité
http://maoloni.droitfondamental.eu/?p=36
Jeudi, novembre 12, 2009
Comment confier deux petites filles à leur père avant qu’il n’ait à répondre d’abus d’enfants ainsi que de possession de pédopornographie, et les priver de tout contact avec leur mère.
3 octobre 2006 : Maria-Pia Maoloni, qui a la garde et l’hébergement principal de ses deux filles (l’autorité partagée entre les deux parents), part en Italie avec ses filles, après qu’elles aient passé le W/E passé avec leur père.
4octobre 2006 : La mère arrive avec ses filles vers 18h en Italie. Son avocat, Maître Arnould, lui faxe la copie du jugement de la veille par la Juge Harvengt (art 38) à 12h05 chez elle en Belgique. Elle ne peut donc en avoir connaissance.
5 octobre 2006 : Lors d’une réunion avec le père et son avocat, sans que la mère et son avocat n’aient été convoqués, le SPJ (Service de Protection Judiciaire) accorde l’hébergement des enfants au père, son prochain droit de visite n’étant quinze jours plus tard.
6 octobre 2006 : A la demande du père, sans que la mère où son avocat ne soit informé, le tribunal de Mons lance un mandat d’arrêt européen contre la mère pour enlèvement des enfants, deux jours après leur arrivée en Italie, alors que le délai constitutif d’enlèvement parentale est d’au moins cinq jours. De même, il demande en référé, l’autorité exclusive et l’hébergement principal des enfants. La convocation à cette audience n’arrive au domicile de la mère que le 9 octobre 2009.

7 octobre 2006 : La mère est arrêtée et détenue dans une prison italienne jusqu’au 11 octobre puis en arrêt domiciliaire chez sa tante jusqu’au 26 octobre 2006, et les enfants sont placés en institution.

11 octobre 2006 : Le jugement en référé du tribunal belge attribue l’autorité exclusive et l’hébergement principal des enfants au père.

12 octobre 2006 : La mère reçoit le jugement Harvengt (art 38) par fax de ses avocats italiens De Minicis et apprend le contenu du jugement.

23 octobre 2006 : Fax de Maître Arnould spécifiant que la mère n’avait pas connaissance du jugement et qu’il a, de sa propre initiative, fait appel de la décision, sachant que sa cliente le ferait d’office.

26 octobre 2006 : La Cour d’appel d’Ancône libère la mère sans condition.

12 décembre 2006 : La Cour d’appel d’Ancône juge qu’il n’y a pas enlèvement d’enfant et révoque le rapatriement des enfants en Belgique.

19 mai 2007 : Les enfants sont rapatriées en Belgique, sur base d’un jugement du tribunal de la jeunesse de Ancône dont la mère et son avocat ne recevront notification que le 23 mai 2007.

28 mai 2007 : Le juge de la jeunesse belge accorde au père l’autorité exclusive et hébergement principal au père

28 mai 2008 : La Cour de Cassation italienne casse la décision de rapatriement des enfants en Belgique chez le père et confirme qu’il n’y a pas eu d’enlèvement d’enfant dans le chef la mère, sans recours possible.
Le cirque a bien eu lieu à la Cour d’Appel de Mons
Vendredi, novembre 20, 2009
By admin
Mercredi 18 novembre 2009, la chambre de la Jeunesse du tribunal d’Appel de Mons était appelée à juger le refus du droit inaliénable de deux petite filles à des contacts réguliers avec leur mère, Maria-Pia Maoloni, dont elles sont privé depuis plus de trois ans, même par téléphone.
La Cour de Cassation de Rome a déclaré illégal le rapatriement des enfants sur base d’une condamnation de la mère à 5 ans de prison pour un enlèvement parental de 2 jours, du fait que les lois européennes requièrent un minimum de 5 jours. Maria-Pia a pris la citoyenneté italienne, la justice belge refusant de reconnaître le jugement italien, donc les lois européennes.
Selon Me Reginald de Beco, l’avocat de Maria-Pia, le juge d’instruction belge exigera, pour lever les 5 ans de prison qui l’attendent en Belgique, qu’elle accepte de se soumettre aux décisions judiciaires du tribunal de la jeunesse et de la cour d’appel et de collaborer avec le « service de protection judiciaire » belges en vue d’une « reprise de contact progressive » avec ses enfants. En d’autres termes, deux petite filles belges ne pourront parler à leur mère qu’en prison, pour autant qu’elle ne renonce à ses droits d’aller en appel, en cassation et à la Cour Européenne des droits de l’homme.
Dans la salle, le grand-père paternel, condamné deux fois pour trafic de faux tableaux, notamment via la « Maison Losseau », qui fait part du parcours du patrimoine architectural et d’Art Nouveau belge. Il doit actuellement répondre en Italie des présomptions de viols sur ses petites-filles, prostitution enfantine et détention de matériel pédopornographique. Il accompagne son fils, qui est enseignant dans une école pour enfants handicapés en Belgique, mais mis en examen en Italie pour les mêmes faits sur les enfants.
Le grand-père paternel s’avance vers Cosima Marchese, la grand-mère maternelle, et le comité de soutien des enfants :
- Que faites-vous ici, leur demande-t-il.
- Nous sommes là en observateurs, répond le comité.
- En observateur de quoi ?
- En observateur du « Droit des Enfants ».
- Et de quel droit venez-vous ici m’accuser ? Comme tous les autres, là, et de celle-là, la duchesse ! Vous êtes tous avec eux, qu’est-ce que je vous ai fait ? Qu’est-ce que vous cherchez en venant ici ?
L’audience commence. Ironiquement, Me Véronique Laurent, l’avocate du père, dit au Président de la Cour, que parmi le public, il devait y avoir des personnes qui témoigneraient certainement à l’encontre de son client devant la Justice italienne et que cette situation était « malsaine ».
Le président a alors demandé que chacun décline son identité. Un membre du comité de soutien a marqué son étonnement de se voir réclamer son identité dans une audience publique. Le président a répondu qu’il faisait sa police dans la salle et il l’a prié de sortir. L’huissier a alors annoncé que l’audience était dorénavant à huis clos, ce qui est très original, quand on songe que la procédure a pour objectif d’obtenir des contacts téléphoniques élémentaires entre une mère et ses enfants. Tout le monde a été prié de sortir, y compris la grand-mère maternelle, mais pas le grand-père paternel, qui avait pourtant oublié sa carte d’identité ou le père.
A l’intérieur de la salle, Me de Beco a demandé de joindre deux dossiers, qui selon lui sont connexes. L’audience a été reportée au vendredi 8 janvier 2010, afin que le Procureur du Roi vérifie l’opportunité de la jonction.
A l’extérieur de la salle, Sophie de Brabandere, journaliste pour RTL et son caméraman ont demandé comment il était possible qu’une audience se déroule ainsi. Cela fait six ans que l’affaire est traitée de cette manière. Au départ, Jean-Maurice Arnould, membre des Comités Blancs, et premier avocat de Maria-Pia Maoloni, s’est avéré être secrétaire de la « Maison Losseau » à travers laquelle Roberto Antonini a écoulé quelques-uns de ses faux tableaux !
Les grands-parents maternels, d’honnêtes retraités, sont également interdits de tout contact avec les enfants, pendant que le faussaire et l’enseignant obtiennent tous leurs caprices. Ils ont même obtenu une fouille corporelle de la partie adverse et du comité de soutien lors d’une audience précédente, alléguant qu’ils étaient « dangereux et armés ».
Affaire Maoloni/Antonini
Pédocriminalité organisée et solutions bancales des magistrates du Ladies' Club
La protection de la jeunesse de Mons a été chargée d’encadrer et de mettre en place une guidance thérapeutique de Fiona et Milla Antonini. L’aînée à l’âge de 4 ans, accusait son père et son grand-père paternel d’abus sexuel. Mais cette guidance consista à couper tout contacte avec leur mère et remettre les enfants entre les mains de ce père, puis au bout de neuf mois, d’aménager "espace thérapeutique" avec une psychologue.
La première indication montrant un lien possible avec le réseau pédocriminel Zandvoort est Frédéric Lavachery, objet d’un mandat international, qui a accouru pour "assister" la mère, Maria-Pia Maoloni, ainsi qu'il l'a fait, à notre connaissance, pour six autres victimes du même réseau. Il excelle en le domaine de répandre la zizanie entre les victimes, à leur apprendre à se méfier les unes des autres, alors que l'union entre elles les libère du réseau.
La deuxième indication est que Maria-Pia Maoloni a été invitée à consulter l'avocat du CIDE, la fondation suisse dirigée par Georges Glatz qui offrait "l'asile politique" aux mères, ce qui permettait aux pères de les faire emprisonner sous inculpation d'enlèvement parental et de récupérer la garde de l’enfant, qui pouvait ainsi être réintégrer dans le réseau. Le système a été instauré lors de la deuxième guerre mondiale, a dit une nonette à une des victimes, avant qu'elle n'imagine ce qui l'attendait. Des personnes très importantes étaient passées par leur couvant. Nul ne sait qui et s'ils y ont survécu.
Le juge Annie Harvengt, membre senior du Ladies’ Club, jugea que l’hymen coupé d’une des petites filles, n’était pas un élément suffisant pour les protéger en attente des procédures pénales, que le juge d’instruction Frédérique Lefèbvre est supposée instruire à l’encontre de Rocco et Roberto Antonini, accusés par les enfants.
Conformément à la procédure mise en place par le réseau, la juge Véronique Laloux a lancé un mandat d'arrêt européen à l’encontre de Maria Pia Maoloni, pour enlèvement d'enfant pour une période de plus de cinq jours. La justice italienne a anéanti ces accusations, en reconnaissant que seuls trois jours s’étaient écoulés au lancement du mandat. Le voyage en Italie de la mère et de ses filles n’était donc pas constitutif d’enlèvement parental.
Le réseau ayant main mise sur la presse, offre pour avantage de transformer certaines de ces magistrates en héroïnes. Frédérique Lefèbvre et Véronique Laloux viennent d’envoyer huit trafiquants de cocaïne présumés en prison. Ceci doit expliquer pourquoi l’une n’a pas eu le temps d’instruire le dossier à charge de ceux que Fiona et Milla accusent d'abus sexuels, où l’autre d’anéantir le mandat à l’encontre de leur mère, afin qu’elle puisse rentrer en Belgique sans être incarcérée en l’attente de la reconnaissance de son erreur judiciaire.
L'extraordinaire est de constater que la maffia a autorisé l'arrestation de l’inspecteur Gabriel Ekueta du Service d'Enquête et de Recherche (SER), qui aurait fournis des informations aux trafiquants pour leur permettre de se préparer aux perquisitions. Que leur est-il arrivé pour laisser enfermer un flic aussi utile, par des magistrats suffisamment impressionnables pour bloquer l’affaire Maoloni/Antonini ? Devenait-il trop gourmand où au contraire, mettait-il leurs affaires en danger ? Nul ne le sait.
Le 16 avril 2008, le juge Annie Harvengt était soutenue par Sandrine Dehalu, substitut du Procureur du Roi à Mons. Les grands-parents maternels demandaient leur droit de revoir leurs petites filles, mais les magistrates se sont opposé à la requête, exigeant la présence de la mère au tribunal, donc l’application de l’erreur judiciaire de Véronique Laloux !
L’an dernier, Sandrine Dehalu expliquait à la presse que les services étaient surchargés, les structures dépassées ou inadéquates...
Extrait de la Libre Belgique du 25 avril 2007: "On en est réduit à bricoler des solutions bancales. A chaque fois, c'est une petite bombe à retardement." Sandrine Dehalu est substitut du parquet de Mons. Dans son agenda du jour, entre deux audiences et réunions, il y a un dossier d'enlèvement international. Mais elle a trouvé malgré tout du temps pour rejoindre ses collègues présents en masse au palais de justice. Comme eux, elle s'astreint à déminer ce qu'elle peut. Avec ce problème récurrent : la prise en charge. "On travaille de plus en plus à l'envers. A la limite, avant de se lancer, on téléphone au juge pour savoir quelles sont les possibilités."
Considérant le nombre d'accusation d'enlèvements parentaux dans la ville provinciale de Mons, on peut en déduire que surchargées, ces dames en ont été réduites à bricoler une solution bancale pour Fiona et Milla, dont elles auront traité le dossier entre deux audiences et réunions. Elles auront alors "travaillé à l'envers", en téléphonant au juge Annie Harvengt pour savoir "quelles étaient les possibilités." Bienvenue au Ladies' Club !
Stéphane Durviaux, qui a été Délégué Général au Droit de l’Enfant intérimaire, suite à la retraite de Claude Lelièvre, explique un an de coupure de contacte entre la mère et les enfants :
"Suite aux investigations menées auprès de Mr BENSAIDA, Directeur de l'aide à la Jeunesse, je suis informé que l'organisation de contactes téléphoniques entre vous et vos filles avait été envisagée. Toutefois, en raison de la médiatisation organisée autour de la situation de vos filles, le Directeur de l'aide à la jeunesse a estimé devoir postposer ces contacts en vue de préserver leur équilibre et leur stabilité".
Le problème ne vient pas des médias belges, mais des médias italiens, que le réseau ne parvient manifestement pas à contrôler. En effet, la presse belge n'a jamais dit un mot de cette affaire, alors qu'elle couvre la presse italienne.
L’interprétation des conventions des droits de l’homme et de l’enfant s’explique du fait qu’à la place de choisir un solide juriste pour Délégué Général au Droit de l’Enfant, la Belgique a choisi Bernard De Vos, éducateur, islamologue de formation et ancien directeur de l’AMO "SOS-Jeunes / Quartier Libre".
Bernard De Vos a travaillé deux ans pour "Médecins Sans Frontière", fondé par Mr Kouchner, qui a également fondé une autre association, actuellement présidée par le fameux magistrat français déculotté. Espérons que le nouveau Délégué Général au Droit de l’Enfant n'a pas, à son insu, des amis peu recommandables!
La fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti et le Werkgroep Morkhoven préparent une manifestation à Paris avec les parents victimes du réseau, pour demander au Ministre de la Justice, que ce magistrat réponde de pourquoi il s'est déculotté devant Nordine qui n'avait alors que 11 ans et de juger s'il a vraiment les qualités pour être à la tête d'un tribunal de la jeunesse. Ils demanderont également une enquête sur pourquoi la France a offert un asile pédo-politique à Lavachery, alors qu'il est sous mandat d'arrêt international belge.
Quatre-vingt victimes françaises ont été reconnues sur un seul des cédéroms de pédopornographie commercialisée à Zandvoort, en Hollande. Il s'avère que la France n'avait pas les programmes d'analyses biométriques pour les identifications. Les expertises se seraient faites à l'oeil nu. Les experts ont rejeté la possibilité d'identification sous prétexte qu'ils ne voyaient pas de similarités incontestables, tels que des points de beauté !
La manifestation s'annonce bouillante...
Maoloni/Antonini : réunion sécrète pour justifier la violation des droits de l’enfant.
Mardi, octobre 20, 2009
By admin
A Mons, le 20 août 2009, le Service d’Aide à la Jeunesse a organisé une réunion tenue secrète de Maria-Pia Maoloni et de son avocat, pour reconduire l’interdiction de tout contacte entre la mère et ses filles. Le service interdit à deux petites filles de téléphoner à leur mère, au motif que les contacts sont susceptibles de les « aliéner » et « entraver leur développement psycho affectif », sur base d’un blog Internet et du fait que « l’objectif principal demeure l’équilibre des enfants (gardé) loin des surenchères médiatiques ».
La Cour de Cassation italienne a reconnu que la Belgique avait accusé la mère à tors d’enlèvement parental, et que ses filles ont été rapatriées illégalement. Les tribunaux belges avaient décidé de les confier au père, avant que lui-même et son propre père, n’aient à répondre de viols sur mineurs, détention de matériel pédopornographique et prostitution de mineurs.
Les examens gynécologiques de l’aînée des filles ont établi qu’à l’âge de 4 ans, elle avait eut l’hymen coupé. La justice italienne a estimé que les éléments du dossier étaient suffisants pour demander au grand-père, qui a gardé sa nationalité italienne, de répondre de ces crimes. « Les autorités belges avaient plutôt prononcé un non-lieu », déclare ironiquement le directeur de l’Aide à la Jeunesse.
Maria-Pia Maoloni a tout juste le droit d’envoyer des colis à ses filles par l’intermédiaire du Service de Protection Judiciaire. « Les deux délégués chargés du suivi de la situation resteront en contact régulier avec les enfants, le père et le milieu scolaire »… mais pourquoi pas avec la Mère ?
Parce que : « Il est indéniable que le lien affectif des enfants avec l’un ou l’autre des deux parents doit être maintenu et sauvegardé. Toutefois, il faut ‘veiller’ à ce que ce lien ne soit pas source d’aliénation et qu’il n’entrave le développement psycho affectif des enfants », signe la justice belge.
Les autorités belges, françaises et lituaniennes se reconnaissent unilatéralement le droit d’imposer les sanctions les plus lourdes aux citoyens européens qui se prévalent du droit à l’information et la liberté d’expression, que ce soit par la presse où via l’Internet, sur les affaires qui touchent à la criminalité organisée.
En Belgique encore, Marcel Vervloesem a été emprisonné pour avoir exposé le réseau pédocriminel Zandvoort et il est condamné à y rester au-delà de sa peine, en raison d’un site Internet sur lequel il n’a aucun contrôle. La justice française aussi, prive Patricia Poupard de contacts téléphoniques avec son fils, en raison d’un site Internet.
De même, la justice lituanienne a réduit les droits parentaux de Drasius Kedys, pour avoir appelé la presse et diffusé sur Internet, le témoignage de sa fille. Depuis, Drasius Kedys est présumé avoir fait sauter les bureaux du service de l’aide à l’enfance et du parti politique qui a couvert la violation des droits de sa fille, avant d’abattre deux membres du réseau, dont un juge.
C’est ce qu’on appelle « la démocratie ».

ONG DE DROIT FONDAMENTAL /
Pour la reconnaissance des crimes contre l’humanité opérés par les réseaux pédocriminels découverts par Marcel Vervloesem et la protection des droits humains des témoins et victimes de la criminalité organisée
Fiona et Milla: Plusieurs présumés coupables mais un seul inculpé
Dimanche, septembre 27, 2009
By Presidente
Comme en France où Patricia Poupard ne voit plus son fils depuis 2004 alors qu’il a dit avoir été abusé par son père et était porteur à l’âge de 7 ans d’une infection à chlamydia signant une Maladie Sexuellement Transmissible , Maria Pia Maoloni citoyenne belge actuellement en visite chez sa famille en Italie n’a plus revu ses filles depuis presque 3 ans. Elles ont été confiées par le tribunal de Mons à leur père qui est présumé avoir abusé d’elles . Les fillettes mettent en cause dans leurs récits et à de nombreuses reprise le père, le grand-père paternel et d’autres personnes qui se livraient à des cérémonies dans des « châteaux » où ils abusaient d’enfants et les photographiaient. Elles sont porteuses de lésions de viols constatées par des examens gynécologiques. Malgré la mise en cause du grand-père par la Justice Italienne , la Justice Belge continue d’empêcher tout contact des enfants avec la mère prétextant qu’elle en est responsable par la médiatisation de son affaire qui « nuirait à l’équilibre des fillettes » . A la demande judiciaire des parents de Mme Maoloni d’ exercer leur droit de visite, la justice belge en la personne du juge HARVENGT Annie, soutenue par le substitut du Procureur du Roi, Madame DEHALU Sandrine, a refusé que l’audience ait lieu car elle exigeait la comparution de Maria Pia Maoloni. Etant sous le coup d’un mandat d’arrêt européen lancé par la Juge LALOUX Véronique pour enlèvement d’enfant (alors que la cour d’Appel d’Ancona -Italie a révoqué ce mandat et l’a libérée sans condition, en spécifiant bien qu’il n’y avait pas eu d’enlèvement d’enfants puisqu’à son arrivée en Italie, elle avait la garde principale des enfants et que le père n’avait pas de droit de visite) elle ne pouvait se présenter sous peine d’être emprisonnée comme Patricia Poupard l’a été pendant 9 mois et soumise à des traitements psychiatriques qui l’ont rendus invalide.
Mme Maoloni est soumise à des pressions monstres de la part des autorités belges qui lui enjoignent de3 se taire et de ne plus médiatiser sur internet sous peine de ne plus revoir ses enfants ». La Justice italienne quant à elle, juge le grand-père, citoyen italien, cette semaine pour ces faits que la Justice Belge continue à étouffer. Pour les mêmes raisons ils ont incarcéré et maintiennent Marcel Vervloesem en prison afin de ne pas avoir à instruire la plainte de 17 pages portée par son association en 2001 et exposant toutes les preuves de l’existence du réseau pédocriminel Zandvoort.
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Troc en Belgique: deux enfants contre le silence de leur mère
Jeudi, octobre 1, 2009
By Presidente
Silence, où vous n’entendrez plus vos filles…
C’était en décembre 2007. Maria Pia Maoloni n’avait plus de trace de vie de ses filles Fiona et Milla, depuis près de huit mois. Les autorités judiciaires belges la menaçaient d’interdiction de tout contact avec ses enfants, tant qu’elle les mettait cause, puis l’invitaient à rétracter ses plaintes pour abus sexuels de mineures.
- Je permets toujours au père pédophile de voir son enfant, avait dit le juge Jean-Pierre Agnessens, qui présidait alors la Cour d’Appel de Mons.
L’ainée des petites filles, à l’âge de quatre, était porteuse de traces de viols et mutilations: des fissures anales et hymen découpé dont elle a accusé son père et grand père : Rocco et Roberto Antonini. Leur mère avait découvert des photos de sexes d’enfants cousus sur l’ordinateur de son ex mari, qui est enseignant pour enfants handicapés dans une école de l’état, a-t-elle expliqué.
- Il ne s’agit pas de pornographie, mais de torture, avait répondu le juge.
Mme Maoloni chercha de l’aide en Italie, son pays d’origine, avec l’intention de revenir en Belgique en respect de son contrat de professeur en psycho-pédagogie. La justice Belge la condamna pour enlèvement parental de deux jours, ce que la justice italienne considéra illégal eu égard à l’absence de faits constitutifs d’un tel crime.
Entre-temps, la Juge Annie Harvengt du tribunal de la jeunesse de Mons, membre de la « Commission de Coordination de l’Aide aux Enfants Victimes de Maltraitances » et du « Ladies Club », confia l’autorité exclusive et l’hébergement principal des petites filles à ce père, en l’attente qu’il ne doive répondre des mutilations dont l’aîné l’accusait.
Dans le même temps, Frédérique Lefèvre, juge d’instruction au tribunal de Mons, ne parvenait pas depuis 2004, à faire le tour du dossier, alors qu’elle mène en un tournemain des affaires de terrorisme et de trafic international de drogue.
Le 10 décembre 2007, le « Hotline Team » de Child Focus qui appelait Maria-Pia Maoloni « Monsieur », lui demanda de ne pas transmettre son appel au secours via Internet. La difficulté, « dans l’intérêt des enfants », serait le contrôle des destinataires permettant de les informer tous, « si une solution est trouvée ». Bien que Fiona et Milla aient disparu dans de pareilles circonstances, leur mère eut la stupeur d’être remerciée de l’intérêt qu’elle porte à la protection de l’enfance !
Le lendemain, le Centre Européen des Enfants Disparus et Sexuellement Exploités, rebaptisé « Missing Children Europe » répondait ne pas être habilité à agir sur le terrain, mais envoyait son appel au secours à Child Focus (qui partage leurs bureaux), pour l’analyser afin de voir s’ils sont compétents en ce domaine.
Child Focus ne traite que les dossiers de criminalité non organisée et extra familiale, enlèvements, maltraitance ou exploitation sexuelle d’enfants, mais pas de violences intrafamiliales. Leurs activités se résumeraient à la maltraitance extra familiale et à l’exploitation sexuelle non organisée. Dés lors que la clientèle se trouve par publicité, donc des complicités, il s’agirait de prostitution et production de pédo pornographie non commerciales de prédateurs isolés !
Reste le lien entre les victimes et la justice. Peu après ses contacts avec Child Focus, Mme Maoloni recevait une convocation du service de la protection judiciaire de la jeunesse: un attrape-nigaud, puisque si elle met un pied en Belgique avant qu’un tribunal belge ne trouve enfin le temps de l’innocenter des charges d’enlèvement parental, elle serait jetée en prison.
Taoufik Bensaida, directeur du service local, convenait de rencontrer le père et les avocats des parties. Il assurait que la mère et les enfants rétabliraient contact par téléphone le lendemain. Plutôt que d’entendre ses filles, Mme Maoloni entendait Mr Bensaida rétracté l’accord fait avec les avocats, en lui disant qu’elle ne pourrait leur parler tant qu’elle mettrait en cause les institutions judiciaires belges. Néanmoins, elle bénéficierait de son approbation, si elle rétractait ses plaintes pour les abus sexuels de ses filles.
La liste des enfants maintenus otages dans une situation de danger pour leur intégrité physique et émotionnelle depuis 1987, fait apparaître un système institutionnalisé, qui pose question de qui en apprend la technique à tous ces fonctionnaires.
L’Internet, si difficile à contrôler, comme le dit Child Focus, a en effet permis de découvrir qu’aussi bien en Flandres et en Wallonie, qu’à Bruxelles, ces institutions utilisent toutes la même politique de l’outrage pour déstabiliser ceux en mesure de protéger ces enfants en danger, en contrevenant ouvertement à leurs tous droits fondamentaux. L’importance de la violation du droit à l’information prend alors toute sa dimension.
Les magistrates du Lady’s Club ont fait un pari risqué, car les collectionneurs de photos de tortures d’enfants en font souvent commerce par le biais des réseaux Internet, donc internationaux, ce qui dés lors est susceptible de sortir de la Belgique, donc de leur juridiction. Ces dames pourraient alors devenir des stars internationales, à la joie de la presse italienne, sans que la presse belge ne puisse étouffer l’information. Elles pourront alors faire des conférences de presse et des exposés au « Ladies Club » pour expliquer comment l’intérêt supérieur de petites filles à l’hymen coupé justifie de les confier à l’homme qu’elles accusent de viols, puis comment il est si facile de démanteler des réseaux de terroristes et si difficile de démanteler les réseaux de pédophiles.
Jacqueline de Croÿ – Mis à jour le 7 octobre 2009
Quelques sources:
Bonjour,
Je vous envoie la lettre que j’ai écrite et que j ai envoyée à la presse en Italie. Cela fait déjà 1 an que la presse italienne a fait couler de l’encre sur notre histoire.
Je souhaiterais faire connaître notre cauchemar, malheureusement bien réel, au monde entier afin que celui-ci sache que deux enfants ont souffert le martyr et qu’elles continuent encore aujourd’hui à subir l’inacceptable !!!!
J’ai le soutien de plusieurs associations internationales en : Belgique (Fondation Princesse de Croÿ), Italie (Prométéo, Meter, SOS Bambini, …), France (Innocence en Danger)
J’aimerais que cette lettre, qui est un appel au secours, puisse servir à sensibiliser un maximum de personnes afin que l’on puisse m!aider à retrouver mes enfants et à les sortir de cet enfer !
Pourriez vous nous aider svp ?
Je reste à votre disposition pour tout renseignement utile.
Merci de tout coeur!
MAOLONI MARIA PIA
Date: Mon, 10 Dec 2007 20:49:46 +0100
From: 110@childfocus.org
Subject: SAUVER MES ENFANTS DE L’ENFER: FIONA ET MILLA
To: adriano70@hotmail.it
Monsieur,
Nous avons bien reçu votre mail concernant Fiona et Milla, et nous l’avons lu avec attention.
Nous sommes au courant de ce dossier. De façon générale, et dans l’intérêt des enfants, nous demandons de ne jamais transmettre ce type de mail à d’ autres internautes. En effet, is est très difficile d’ arrêter ces chaînes d’ e-mail et d’ en connaître tous les destinataires. Il est donc quasi impossible d’ informer les personnes recevant le mail, si une solution est trouvée.
Nous vous remercions pour votre intérêt dans la protection de l’enfance et vous prions d’ agréer l’ expression de nos sincères sentiments.
Child Focus Hotline Team
Date: Tue, 11 Dec 2007 12:32:13 +0100
From: verlaine.berger@missingchildreneurope.eu
Subject: Re: SAUVER MES ENFANTS DE L’ENFER: FIONA ET MILLA
To: adriano70@hotmail.it
CC: delphine.moralis@missingchildreneurope.eu
Madame,
En tant que Fédération, Missing Children Europe n’est pas habilité à agir sur le terrain. Notre rôle est de fédérer les différentes associations d’Europe, de les aider à se développer et de les représenter face aux institutions européennes.
J’ai donc transféré votre e-mail à Child Focus une ONG qui s’occupe des enfants disparus et sexuellement exploités en Belgique.
Child Focus va analyser votre e-mail afin de voir s’ils sont compétents dans ce cas-ci. Si ce n’est pas le cas, ils vous enverront les coordonnées de l’organisme pouvant vous aider au mieux dans votre démarche.
J’espère de tout coeur qu’ils pourront vous aider.
Bien cordialement,
Verlaine BERGER









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