mardi 26 mai 2009

PROCES PENAL EN ITALIE CONTRE ANTONINI ROBERTO

LE RENVOI AU JUGEMENT DE ROBERTO ANTONINI, grand-père paternel de FIONA ET MILLA, POUR LES ACCUSATIONS DE PEDOFILIE .

LE TRIBUNAL ITALIEN INCULPE LE GRAND-PERE PATERNEL DES DEUX PETITES SOEURS, POUR VIOLS SUR MINEURS, PROSTITUTION DE MINEURS ET DETENTION DE MATERIEL PEDO-PORNOGRAPHIQUE.

LE PROCES PENAL CONTRE ROBERTO ANTONINI A DEBUTE' LE 23 SEPTEMBRE 2009 EN ITALIE.







L’Italie juge de la pédocriminalité en Belgique
http://blog.droitfondamental.eu/wordpress/?p=171

L’audience a commencé à 9h30 et s’est maintenue jusqu’à 17 heures, ce 23 septembre 2009, au Tribunal de Fermo, sur les pentes du mont Sabulo, non loin d’Ancône, pour juger des violences sexuelles sur une petite fille belge et de possession de pédopornographie en Belgique.

Maria-Pia Maoloni vivait à Mons, en Belgique. Elle est la mère de deux petites filles belges, dont l’aînée a reproché à son père et son grand-père paternel de l’avoir abusée. Elle a découvert que son mari et son beau-père échangeaient des photos de crimes réels sur des enfants. Les examens gynécologiques de la fillette de 4 ans ont fait apparaître qu’elle avait l’hymen coupé.

Si les drames intrafamiliaux belges relèvent de l’indépendance des magistrats, les affaires connexes à la criminalité organisée relèvent des « directives de la politique criminelle du ministre de la justice et du conseil des procureurs généraux », dont les jugements sont quasi tous identiques : les plaignants sont accusés des faits qu’ils dénoncent, et les enfants sont confiés à la garde principale de ceux qu’ils accusent, ou placés en institution.

Le dictat du ministère a donc attribué la garde des enfants au père, ensuite condamné la mère à la prison pour un enlèvement parental de deux jours, ensuite interdit tout contacte entre mère et filles et enfin : blanchi les deux mis en cause en blâmant la mère. Le ministère est soutenu dans ses dictées, par les subsides de l’état belge, qui assurent le silence de la presse et des organismes d’assistance aux victimes.

Par chance, le grand-père, domicilié en Belgique, a eu l’imprudence de garder sa nationalité italienne, alors que l’abus d’enfant commis par des italiens à l’étranger est punissable en Italie. Piero Baschieri, le Procureur de Fermo, a estimé, en dépit du jugement belge, que les éléments du dossier étaient suffisants pour demander à Roberto Antonini de répondre en son tribunal, de violences sexuelles sur sa petite-fille aînée et de pédopornographie.

Le plus émouvant est de découvrir une justice qui écoute, qui pose des questions, qui se donne le temps pour entendre une mère, qui pleure pour ses enfants. Mr Vitali Rosati et Mme Sacco, respectivement Président du Tribunal et Ministère public à Fermo, ont réservé une journée entière pour entendre les avocats et poser des questions à Maria-Pia Maoloni, puis fixer une seconde audience au 9 décembre à 15h30 !

C’est extraordinaire pour nous les belges, qui sommes systématiquement insultés et calomniés par des magistrats, dés que nous demandons justice pour un enfant abusé. Pour nous, qui avons vu Marcel Vervloesem condamné à mourir en prison, sur base d’un dossier incomplet, par un juge qui avait limité les plaidoiries à 7 minutes par fait reproché, dans le but d’assurer « l’extinction des procédures » sur les 93.081 photos criminelles que son ONG a remis à la justice belge.

Toutes les télévisions et tous les journaux italiens ont parlé de la pédocriminalité belge jugée en Italie et une fois de plus, pas un mot n’en a été dit en Belgique. On comprend donc pourquoi, belge d’origine italienne, Marie-Pia Maoloni est devenue italienne d’origine belge.





Illustration de la presse italienne
ENFANTS CONVOITES, PROCES DU GRAND-PERE ACCUSE D’ABUS. OUVERTURE DU PROCES POUR LE GRAND-PERE BELGE ACCUSE’ DE PEDOPHILIE PAR FRANCO CAMELLI – IL MESSAGGERO – 24/09/2009

Au Tribunal de Fermo, s’est déroulée, hier, la première audience contre le grand-père des enfants belges, renvoyé en jugement pour suspicion d’abus sexuels sur l’aînée et pédopornographie. L’homme domicilié en Belgique, ne s’est pas présenté, mais il a été défendu par l’avocat Micucci d’Ancône. Face au Président de la Cour, Monsieur Vitali Rosati et au Ministère public, Madame Sacco, la mère des enfants, Madame Maria-Pia Maoloni, a été appelée à témoigner, celle-ci étant défendue par l’avocat Carlo Taormina.

« Nous avons présenté -explique l’avocat Taormina- toute la documentation recueillie contre le grand-père des enfants. Nous avons également déposé un ordinateur qui appartenait à Madame Maoloni et à son ex-mari. Il en résulterait que ce dernier transmettait du matériel compromettant à son père. Les fichiers étaient effacés, mais notre expert désigné a réussi à remonter aux mouvements avant leur effacement. Nous avons en outre présenté les examens gynécologiques réalisés sur l’enfant à l’époque des faits ».

Madame Arianna Di Biaggio, Présidente de l’Association des Parents de Rignano Flaminia (AGERIF), était présente au procès. Madame Maoloni a raconté son histoire et celle de ses filles à partir de 2004, lorsqu’ elle pressentait que quelque chose n’allait pas. Ensuite, elle a entamé la bataille juridique contre l’ex-mari et le père de ce dernier, qui en Belgique, ont été disculpés des accusations. L’audience, initiée à 9h30 s’est maintenue jusqu’à 17 heures. Madame Maoloni a répondu au défilé de questions du Procureur, de l’avocat Micucci et de l’avocat Taormina. La maman voudrait obtenir des contacts avec ses filles, rapatriées le 19 mai 2007 et confiées au père en Belgique. « Cela fait 983 jours que je n’ai pas de nouvelles d’elles ! », déplore Madame Maoloni. La seconde audience est fixée au 9 décembre à 15H30.
(…)
Tags: Marcel Vervloesem, Maria-Pia Maoloni, Piero Baschieri, Roberto Antonini


IL QUOTIDIANO.IT DELLA PROVINCIA DI ASCOLI PICENO

http://www.ilquotidiano.it/articoli/2008/12/19/93575/rinvio-a-giudizio-per-il-nonno-delle-bimbe-belghe

Rinvio a giudizio per il nonno delle bimbe belghe

San Benedetto del Tronto |

È stato rinviato a giudizio dal Gup del tribunale di Fermo, Ruggero Di Cuonzo, Roberto Antonini, suocero di Maria Pia Maoloni, che insieme al figlio è accusato di pedofilia.

Il processo è stato fissato al prossimo otto luglio, a Fermo. Questa mattina al palazzo di giustizia era presente l'avvocato Carlo Taormina che assiste Maria Pia Maoloni, madre delle due bimbe contese. Un'udienza complessa vista la precedente sentenza da parte del tribunale di Mons, in Belgio, che ha decretato il non luogo a procedere nei confronti dello stesso imputato.

Lo scontro in aula si è incentrato su questo aspetto e da Fermo è arrivato il rinvio a giudizio solo perché in Belgio non c'è stata una vera e propria assoluzione, che avrebbe impedito di avviare in Italia un procedimento analogo.

Soddisfatto l'avvocato Taormina, che all'uscita dall'aula ha abbracciato la donna. In lacrime la Maoloni ha poi abbandonato in fretta il tribunale. Ci tornerà l'estate prossima. E ci dovrà tornare anche Antonini, che nei giorni scorsi aveva scritto una lettera aperta con la quale accusava la nuora che - ha detto - "con i suoi racconti orribili sta anche prendendo in giro la magistratura".

Contro il nonno paterno pendeva la denuncia per abusi sessuali nei confronti della più grande delle due bimbe. La madre delle ragazzine, come si ricorderà, lasciò il Belgio nel 2006, rifugiandosi a Castignano, accusando marito e suocero di abusi sulle due figlie. Ma nel maggio dello scorso anno le piccole tornarono a Mons sulla base di una disposizione dei giudici italiani e belgi.

19/12/2008

http://www.sambenedettoggi.it/2008/12/19/65648/bimbe-contese-in-italia-continua-il-processo/

Bimbe contese, in Italia continua il processo


Rinviato a giudizio dal tribunale di Fermo il nonno delle due sorelline italo-belghe, dopo l'archiviazione del procedimento nei suoi confronti da parte della magistratura belga

FERMO - Continua la vicenda giudiziaria delle due sorelline italo belghe contese dai genitori. Dopo che il tribunale della città belga di Mons si è pronunciato per il non luogo a procedere nei confronti della famiglia paterna degli Antonini, il gup del tribunale di Fermo ha rinviato a giudizio il nonno delle due bimbe.
La madre delle due bimbe, fautrice di accuse di violenze sulle bimbe da parte dell'ex marito e dell'ex suocero, è difesa dall'avvocato Carlo Taormina.

Pubblicato alle 19:02 del 19 12 2008



IL RESTO DEL CARLINO 24/09/2009





RIVISTA SETTIMANALE "VISTO"/ REVUE NATIONALE "VISTO", 04/02/2011





IL RESTO DEL CARLINO, 20/01/2011

1 commentaire:

  1. Cette mère est courageuse et MAMAN expetionelle. Elle aura l'amour de ses enfants pour toujours. Elle me touche le coeur e l'ame et me rend plus forte aujourd'hui pour poursuivre ma vie. Je l'admire et lui envoie mon estime pour la dignité de sa vie future avec ses créatures bein aimées Fiona e Milla.

    Peut.etre la rencontrerai-je un jour...

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