lundi 25 mai 2009

MANIFESTATION PLACE NAVONNE A ROME 2009/ INTERVIEW DE LA MAMAN

MANIFESTATION PLACE NAVONNE A ROME 2009/

TEMOIGNAGE DE LA MAMAN, MAOLONI MARIA-PIA:

COMMENT TUER UNE PERSONNE SANS AVOIR LES MAINS REMPLIES DE SANG ?
ORGANISATION PEDO-CRIMINELLE :
QUAND LA DEMOCRATIE PREND LES COULEURS DE LA DICTATURE


Je m’appelle MAOLONI Maria-Pia, la maman de Fiona (10 ans) et Milla (6 ans), deux innocentes victimes de la perversion adulte.

Ma lutte pour la sauvegarde de mes enfants n’est pas seulement une bataille contre la pédo-criminalité organisée mais représente une guerre contre l’indifférence et l’ignorance des personnes devant le massacre de l’innocence de nos enfants.

Ce réseau pédo-criminel bien structuré n’est pas seulement composé de pervers pédophiles mais aussi de leurs complices, les pervers institutionnalisés, qui les protègent ou qui ferment les yeux devant ces crimes contre l’humanité. Ces complices occupent très souvent des fonctions sociales légitimes dans les hautes sphères de la société et notamment au sein du système judiciaire.

Les objectifs de ce réseau sont principalement : le pouvoir, le plaisir pervers et l’argent.

Pour atteindre ces buts, leurs moyens sont : l’omertà de la presse ; la rétorsion (menaces, intimidations) pour ainsi exploiter les peurs des personnes ; propager de fausses informations afin de discréditer et d’étouffer la vérité sur ces crimes ; laisser les citoyens dans l’ignorance de ce monde perfide ; et enfin, isoler les victimes et les personnes qui ont le courage de les défendre.

L’isolement de l’enfant abusé et du parent protecteur est une des finalités recherchées par les pervers institutionalisés.

ISOLEMENT DE L’ENFANT VICTIME DU RESEAU PEDO-CRIMINEL

En effet, le piège est de faire croire que l’on va placer l’enfant dans un cadre
« neutre » pour permettre à la « justice » de prendre les décisions dans « l’intérêt supérieur » de l’enfant. De cette façon, l’enfant se retrouve placé en institution pour une longue période et donc sous l’emprise judiciaire. Ceci ayant pour conséquence sur l’enfant de se sentir puni d’avoir parlé des violences sexuelles qu’il a subies. Donc, l’enfant qui est déjà victime d’abus sexuels devient victime d’abus judiciaire. Par conséquent, sous le poids de cette culpabilité, l’enfant éprouvera des difficultés à se confier de nouveau sur son vécu de victime. L’enfant souffre d’un profond sentiment d’abandon face à ce lourd fardeau des traumatismes sexuels subis qu’il doit porter seul et en silence. De plus, le sentiment de détresse chez l’enfant victime d’abus sexuels et placé en institution, est accentué par le fait qu’il se voit séparé de son milieu parental et de son parent protecteur.

L’article 38 du décret de l’aide à la jeunesse (en Belgique) est devenu un piège pour les innocentes victimes violentées et pour le parent protecteur. En effet, en délèguant leur « pouvoir de décision » au directeur du SAJ (Service d’Aide à la Jeunesse) ou au SPJ (Service de Protection Judiciaire), certains juges se déresponsabilisent face à la protection effective du mineur envers ses bourreaux sexuels. Si le parent protecteur n’est pas d’accord avec la décision de placement du SAJ ou du SPJ, on lui dira qu’il peut faire un recours sur base de l’article 37 du décret de l’aide à la jeunesse. Toutefois, il faut savoir que ce prétendu recours est aussi un traquenard pour les victimes puisque la plupart du temps, le parent se retrouve face au même juge de la jeunesse qui, dans la majorité des cas, confirmera la décision du directeur de l’aide à la jeunesse c’est-à-dire la décision de placement de l’enfant en institution afin de l’éloigner de son parent protecteur. Donc, la boucle est bouclée !

La tactique des pervers institutionnalisés est d’emprisonner l’enfant afin de l’éloigner du parent protecteur. L’enfant se retrouve donc dans une institution de l’Etat, dans l’ « attente » d’une décision qui permettra de le placer chez le parent bourreau. Le placement en institution sert de tremplin pour les institutions judiciaires afin d’avoir la main-mise sur des décisions d’éloignement rapides de l’enfant à son parent protecteur. On vous fera croire qu’il s’agit d’une période de placement « très courte » afin de vous permettre de « prendre du recul » et de permettre à la justice « d’y voir plus clair »… On vous dira également que c’est « dans l’intérêt supérieur de l’enfant » (belle phrase utilisée à toutes les sauces pour vous faire avaler des couloeuvres !).

Le premier objectif visé par l’organisation pédo-criminelle est donc atteint : isoler l’enfant victime pour ainsi l’empêcher de s’exprimer sur les crimes sexuels qu’il a subis. Il faut préciser que malgré toutes ces pressions et ces souffrances infligées, si l’enfant a le courage de s’exprimer de nouveau sur son vécu traumatique, les pervers institutionnalisés affirmeront que l’enfant « fabule » ou qu’il a été « aliéné » par le parent protecteur et n’est donc pas « crédible ».

De cette façon, en évitant de protéger mes enfants contre les violences sexuelles qu’elles subissent et en les exposant au milieu paternel pédophile, le système institutionnel et judiciaire de Mons devient complice de ces crimes. Mes enfants ont été réduites par celui-ci en « objets de chantage» afin que j’enlève mes plaintes pénales et que j’arrête toutes les procédures à charge du père, Rocco Antonini et du grand-père paternel, Roberto Antonini.
Lorsque je vivais en Belgique avec mes deux enfants, j’ai frappé à toutes les portes des institutions belges pour réclamer de l’aide (Child Focus, Aide aux victimes, Service d’Aide à la Jeunesse, SOS enfant, associations pour l’enfance, etc). Toutes ces institutions qui soulagent la conscience collective, après l’affaire Dutroux en Belgique, et qui tentent de démontrer que l’enfant est actuellement protégé et bien encadré dans ce pays!! L’étau se refermait de plus en plus autour de nous ! Mes enfants et moi-même étions en détresse et on ne nous a pas aidées, mais on nous a piégées !

Mes enfants sont victimes d’un réseau de pédophiles.

Cela fait six ans que j’attends JUSTICE ! J’y crois encore puisque je continue les démarches judiciaires. Toutefois, j’espère pour mes enfants, qui sont actuellement entre les mains de ces criminels, que la justice n’est pas une utopie ! La justice devient utopie quand la vérité est freinée par la corruption. La seule façon de veiller à la manifestation de la vérité, dans un pays démocratique, est de permettre aux citoyens de maintenir un regard critique sur le déroulement des procédures judiciaires relatives à la pédocriminalité. Ceci à travers les canaux d’informations qui donnent accès à un large public comme internet et les médias (quand ces derniers gardent leur indépendance et qu’ils ont le courage d’affronter le problème de la pédo-criminalité ! En Belgique, dans le cadre de mon dossier, c’est l’omertà absolue !).

Malgré toutes les pressions et rétorsions que les autorités montoises me font subir jusqu’à ce jour, je continue encore à me battre pour la manifestation de la vérité sur les viols et la prostitution de mes enfants. Malgré ma profonde tristesse et le cœur arraché d’une maman, je résiste à leur chantage car arrêter les procédures signifierait abandonner mes enfants dans leur vécu de victimes violentées. Lorsque l’on a été victime de crimes sexuels, il est fondamental pour pouvoir se reconstruire, que l’on vous reconnaisse le statut de victime. Les autorités de Mons ont voulu inverser les valeurs en faisant croire que mes enfants étaient des menteuses au lieu d’être des victimes. Cette attitude est un déni de justice à l’égard de mes deux filles et donc, un déni de droit !

Il ne faut pas être un grand expert judiciaire pour comprendre que, dans le cadre de mon dossier, l’interprétation de la Loi et surtout sa non application, sont réalisées par les autorités montoises dans le seul but d’enterrer la VERITE des viols sur mes enfants, au profit de la protection d’une organisation pédo-criminelle !

Nous avons tous compris que cette affaire « dépasse » largement les Antonini (père et fils) et que les décisions de la justice montoise (Belgique) sont systématiquement orientées en faveur de ceux-ci uniquement dans le but de protéger d’autres personnes complices de ces crimes infligés sur mes enfants ; cela, malgré un nombre impressionant de témoignages, de rapports médicaux et psychologiques en faveur de la crédibilité des révélations d’abus par ma fille aînée. Fiona, était âgée de quatre ans et demi lors de ses premières confidences sur la violence sexuelle subie par son père, son grand-père paternel et d’autres adultes (en janvier 2004). Elle a continué à parler et à dessiner l’horreur de son vécu juste avant son rapatriement en Belgique (en mai 2007). Donc, durant trois années, ma fille a eu le courage, malgré ses trois placements en institution, de s’exprimer et d’appeler « au secours » afin que l’on puisse, nous, adultes, la délivrer de toutes ses souffrances. Mais aucune autorité a eu, jusqu’à présent, la volonté de s’opposer à ces crimes et de protéger mes deux enfants.

POURQUOI ???

Ma privation ILLEGALE de liberté, suite au mandat d’arrêt illégitime et lancé par le Tribunal de Mons ; l’enlèvement ILLEGAL et la séquestration de mes enfants par les autorités belges ; la séparation avec mes enfants et le refus ILLEGAL de tout contact entre mes petites filles, moi, leur maman et toute la branche maternelle (ceci depuis déjà TROIS ANS !) ; l’absence totale de protection à l’égard de mes enfants contre la violence sexuelle qu’elles subissent actuellement dans le milieu paternel ; les accusations NON FONDEES sur mon équilibre mental émises par des psychologues à deux sous (C-Bex de Mons-Charleroi : Madame Regini Laurence, Madame Fadeur Isabelle, Monsieur Baeskens-Charlier Alain, Madame Delmotte Natacha) sur base d’un rapport bidon d’une jeune éducatrice (Madame Saint Huile) ; les faux intellectuels et calomnies rédigés à mon encontre par des personnes qui ne me connaissent pas (SPJ de Mons : Madame Anne Lethé-de Greef ; SOS Enfant de Mons : Monsieur Gallez Michel) ; des pièces du dossier qui disparaissent ; le chantage affectif du directeur de l’aide à la jeunesse de Mons (Monsieur Bensaïda Taoufik), le procès d’intention à mon égard ; des témoins importants non auditionnés… représentent une gigantesque violation de la Convention Internationale des Droits de l’Homme et de l’Enfant, par les autorités judiciaires de Mons (Belge).

Il est grand temps que le Tribunal et les institutions de Mons cesse de tomber dans le scandale des délits commis envers deux innocentes victimes, que sont mes enfants.

A travers leurs décisions (ralentissement volontaire des procédures civiles pour empêcher tout contact entre mes enfants et moi-même ; accélération de la fermeture du dossier pénal), les autorités montoises couvrent de toute évidence les actes criminels des Antonini et deviennent donc complices de ceux-ci.
Leurs décisions ont d’ailleurs perdu toute crédibilité aux yeux des citoyens belges et internationaux ainsi que devant les autorités italiennes car elles exposent volontairement mes enfants au danger permanent de la violence sexuelle au sein du milieu paternel dans lequel elles se trouvent actuellement.

Il est donc URGENT que ces délits graves et inhumains cessent ! Les dysfonctionnements visibles et bien réels qui apparaissent dans mon dossier sont la preuve évidente d’une volonté de nuire à la manifestation de la vérité relative aux viols commis sur mes enfants par les Antonini et leurs complices.

ISOLEMENT DU PARENT PROTECTEUR

Le parent protecteur, se fiant à la justice de son pays et aux institutions d’aide pour l’enfance, va avoir le réflexe, comme n’importe quel autre parent se retrouvant dans cette même situation, de s’adresser à celles-ci afin de leur confier les révélations d’abus de son enfant et espérer la mise en place urgente des mesures d’aide pour celui-ci. Hélas, le parent protecteur va vite se rendre compte de sa grande solitude face à l’aide qu’il souhaite apporter à son enfant, surtout lorsqu’il comprendra que les pervers institutionnalisés souhaitent le séparer de celui-ci et l’incriminer d’une « pseudo-dangérosité » afin de le discréditer et d’étouffer la vérité des actes criminels commis sur son enfant par les membres du réseau pédophile.

Comment isoler le parent protecteur c’est-à-dire celui qui souhaite protéger son enfant de la violence sexuelle qu’il a subie ?

Les objectifs visés par les pervers institutionnalisés sont identiques à ceux visés pour isoler l’enfant victime d’abus sexuels ; à savoir :

Isolement psychologique : rendre le parent protecteur non crédible en l’étiquetant d’ « aliénant » pour son enfant, c’est-à-dire atteint du « syndrome d’aliénation parentale ».
Le SAP a été défini en 1986 par Richard Gardner, professeur de pédopsychiatrie à l’université de Columbia. Selon lui, il s’agit d’un désordre psychologique qui atteindrait l’enfant lorsque l’un des parents effectue sur lui, de manière implicite, un « lavage de cerveau » visant à détruire l’image de l’autre parent. Lorsque l’opération réussit, l’enfant rejette ou diabolise ce parent qu’il aimait auparavant, et fait indissolublement corps avec le parent aliénant, conformément au désir de celui-ci. Cette théorie est dangereuse non pas dans son fondement mais dans l’utilisation qu’en font les pervers institutionnalisés afin de procéder à l’éloignement du parent protecteur de son enfant. En effet, cette théorie est souvent utilisée dans les procédures judiciaires comme stratégie pour discréditer le parent protecteur et, de cette façon, rendre peu crédible les révélations d’abus de son enfant. Les pervers institutionnalisés diront que le parent protecteur a une « relation

fusionnelle » avec son enfant, qu’il est « aliénant » pour lui et donc « dangereux ». De cette façon, on procèdera au placement de l’enfant en institution afin de l’éloigner du parent protecteur. Cette théorie sera utilisée dans les cas ou’ il n’y a pas de signes physiques d’abus sur l’enfant.
En revanche, dans les cas d’enfants victimes d’abus sexuels ou’ il y a des signes physiques de ces abus (fissures anales, vulvites et vaginites, lésions de l’hymen), les pervers institutionnalisés diront que le parent protecteur est atteint d’une maladie psychiatrique : « le syndrome de Münchausen par procuration ». Ce syndrome décrit un trouble du comportement d’un adulte envers un enfant : la maltraitance de l’adulte sur l’enfant qui consiste en la production volontaire de symptômes physiques ou psychiques.

De cette façon, en taxant le parent protecteur d’ «aliénant » ou de « malade dangereux », il sera plus aisé, pour les pervers institutionnalisés, de le séparer de son enfant. L’abus de ces deux théories dans les procédures judiciaires ajoutera un autre traumatisme à l’enfant puisqu’il n’est pas cru dans son dramatique récit et est donc totalement nié dans sa souffrance et la violence qu’il a subies.

Isolement physique et/ou géographique: cette seconde étape est consécutive à la première (isolement psychologique). Dans ce cas, le parent protecteur, nommé « dangereux » par les pervers institutionnalisés sera isolé dans un centre psychiatrique ou un établissement carcéral .

Isolement social et professionnel
: cette troisième étape est consécutive aux deux précédentes (isolement psychologique et physique et/ou géographique). Le but recherché des pervers institutionnalisés est d’isoler le parent protecteur de son tissu social et familial de référence : détériorer son identité psychologique, sociale et professionnelle. Les frais de procédures et le harcèlement juridico-institutionnel envers le parent protecteur augmenteront sa détresse psychologique et économique. Les frais de procédures judiciaires est un autre moyen utilisé par les pervers institutionnalisés pour étouffer la manifestation de la vérité des crimes infligés sur l’enfant victime, en freinant le parent protecteur dans la continuation de ses actions judiciaires.

Tout ceci est le reflet de notre drame vécu durant cinq années pour tenter de sauvegarder mes deux enfants de l’enfer de la pédo-criminalité.

Je tiens à préciser que mon vécu m’appartient et je ne peux donc le transposer à d’autres situations. Je ne souhaite donc pas généraliser mon histoire, qui s’est orientée vers la protection criminelle par les pervers institutionnalisés, au lieu de la protection de mes deux enfants. Cela serait excessif de ma part d’affirmer que toutes les personnes fonctionnant au sein du Tribunal et des institutions de Mons (Belgique) sont corrompues ou n’assument pas pleinement leurs responsabilités. Les pervers institutionnalisés qui ont eu un rôle dans la non protection de mes enfants se reconnaîtront et devront, un jour, purger leur conscience, en espérant qu’ils en aient une !

L’aide tant recherchée pour mes enfants et que je n’ai pas trouvée en Belgique, m’a contrainte à venir en Italie dans le but que justice soit faite et qu’enfin, mes enfants soient reconnues victimes d’abus sexuels par leur père (Antonini Rocco), leur grand-père paternel (Antonini Roberto) et d’autres adultes (le père et le grand-père accompagnaient ma fille aînée, Fiona, dans des lieux ou’ étaient présents d’autres adultes qui abusaient d’elle et d’autres enfants présents).

Suite au mandat d’arrêt pour enlèvement d’enfants émis par la juge Laloux Véronique du Tribunal de Mons (Belgique), j’ai été arrêtée en Italie. Je suis restée quatre jours en prison et seize jours d’arrêt à domicile. Ensuite, j’ai été jugée par la Cour d’appel de Ancona (Italie) et libérée sans condition. Au moment de mon arrestation, mes enfants ont été arrachées à moi et placées dans une institution italienne durant sept mois. Je n’ai pu obtenir des droits de visite que deux mois après l’enfermement de mes enfants, à raison de quatre heures par mois.

Mes enfants étaient en détresse et se sentaient perdues dans un contexte étranger puisqu’elles ne comprenaient pas la langue italienne (leur langue maternelle étant le français) et qu’elles étaient coupées de leur famille et de tous leurs repères familiers.

Malgré les pressions des autorités belges pour rapatrier mes enfants, la Cour d’appel de Ancona (Italie) a révoqué le rapatriement de celles-ci en Belgique, en tenant compte du danger que mes deux filles encouraient en retournant chez leur père.

Il n’existe aucune place aux mots pour exprimer l’entière souffrance de mes enfants, de ma famille entière et de moi-même. Il s’agit d’ une agonie lente et douloureuse que l’on vit au quotidien ; ceci face à l’impuissance des gens qui nous sont proches et qui nous soutiennent mais également face à la lâcheté et au désintérêt absolu des autorités et des institutions qui pourraient prendre des décisions pour la sauvegarde de mes enfants, et qui ne le font pas !

Le 17 mai 2007, le Tribunal de la jeunesse de Ancona (Italie), alors qu’il n’était pas compétent, a émis une décision de rapatriement de mes enfants, en Belgique. Cette décision a donc chevauché ILLEGALEMENT celle de la Cour d’appel de Ancona (qui avait précédemment révoqué le rapatriement).

Le 19 mai 2007, dans le secret le plus strict et sans que je sois avertie, mes enfants ont été enlevées, lors d’une promenade avec d’autres enfants de l’institution, et rapatriées en Belgique chez leur père bourreau.

En mai 2008, la Cour Suprême de Cassation à Rome a cassé la décision émise par le Tribunal de la jeunesse de Ancona, en reconnaissant son incompétence et en affirmant le maintien de mes enfants sur le territoire italien. Mais trop tard ! Mes enfants sont actuellement en Belgique !

Depuis deux ans, je suis sans nouvelle de mes enfants. Le père et les pervers institutionnalisés de Mons (Belgique) s’opposant catégoriquement à tout contact entre mes enfants et moi-même (même par téléphone !), ceci en faisant une absolue abstraction de l’intérêt de mes enfants et en niant totalement les lois internationales sur les Droits de l’Enfant et de l’Homme.

Malgré les diverses requêtes que mes parents et moi-même avons déposées afin d’obtenir ces contacts, les autorités de Mons (Belgique) restent hermétiques et prennent diverses excuses afin d’éloigner ces contacts : ralentissement des procédures civiles, renvoi des audiences au rôle, fixation des audiences dans des délais extrêmement longs (9 mois à un an entre deux audiences), etc.

Le maintien de cette négation de contacts avec mes enfants sert, pour les pervers institutionnalisés, de chantage affectif afin que j’arrête la procédure pénale et que j’enlève les accusations de viols sur mineurs à charge du père, du grand-père paternel et « X ».

En effet, le 21 décembre 2007, le directeur du Service de Protection Judiciaire et de l’Aide à la Jeunesse de Mons, Monsieur BENSAIDA Taoufik, me convoque pour un entretien prévu le 20 décembre 2007 en Belgique. Ne pouvant m'y rendre (car je suis bloquée en Italie suite au mandat d'arrêt européen lancé par mon ex-mari Rocco ANTONINI contre moi pour enlèvement d'enfants; alors que ce même mandat a été révoqué en Italie!), ce sont les avocats des deux parties et le père, Rocco ANTONINI qui y sont présents. Monsieur Taoufik BENSAIDA, déclare durant cet entretien qu'un contact téléphonique sera autorisé entre mes deux filles et moi-même, le 21 décembre 2007 à 17h. Un simple coup de fil qui représentait, pour moi, un soulagement et un espoir énorme puisque je suis sans nouvelle de mes deux enfants depuis le jour de leur rapatriement en Belgique, c’est-à-dire depuis le 19 mai 2007. Cela faisait donc SEPT MOIS que j’étais sans nouvelle de mes deux enfants ! Tout contact même téléphonique ayant été refusé par le père et ses avocats, Maître BARTHELEMY Jean-Emmanuel et Maître DEPETRIS Nathalie, avocats au Barreau de Mons.
Le lendemain, au lieu d'avoir comme convenu mes filles au bout du fil, c’est Monsieur BENSAIDA qui était au téléphone et qui m’expliquait que je devais cesser la "guerre" , « changer de position », « ne plus faire de bruit autour de cette histoire »…. si j’espèrais revoir mes filles. Monsieur BENSAIDA m’a suggéré de retirer mes accusations de pédophilie à charge du père et du grand père paternel.
Récemment encore, à l’audience du 22 avril 2009, le juge de la Cour d’appel de Mons (Belgique) avait décidé de renvoyer l’audience au 13 mai 2009 afin d’envisager des modalités de contacts par web-cam, entre mes enfants et moi-même.

Il faut préciser que les autorités de Mons se sont précipitées dans l’accélération d’un non-lieu du dossier pénal pour viols sur mineurs à charge des Antonini (père et fils). En effet, quatre jours avant l’audience préliminaire pour le renvoi en justice de Roberto Antonini au Tribunal de Fermo (Italie), le Tribunal de Mons avait décidé d’un non-lieu pour le dossier d’instruction basé sur les mêmes faits (viols sur mineurs). Ceci dans le seul but de démontrer aux autorités italiennes, et de cette façon en voulant les influencer, que le dossier pénal belge s’était cloturé par un non-lieu et qu’il n’y avait donc, selon le Tribunal de Mons, aucune charge d’inculpation pour les Antonini. Malgré cela, le Tribunal de Fermo (Italie) a maintenu le renvoi en justice du grand-père et a fixé le procès pénal pour les mêmes faits de viols sur mineurs à charge de Roberto Antonini, au 08 juillet 2009.

Contre cette décision de non-lieu relative au dossier pénal belge, j’ai déposé un pourvoi en Cassation le 05 mai 2009. Suite à cela, le père et son avocat, Maître Barthélémy Jean-Emmanuel (du barreau de Mons) en ont profité pour écrire au Président de la Cour d’appel de Mons, afin d’exprimer leur opposition ferme quant à l’établissement des contacts entre la maman et les enfants (voir lettre de Maître Barthélémy datée du 11 mai 2009).

Maître Barthélémy explique, dans sa lettre, ce refus de contact, de cette façon : « …il n’est pas possible pour mon client d’envisager un quelconque accord puisque nous venons d’apprendre que Mme Maoloni a formé un pourvoi en cassation à l’encontre de l’arrêt prononcé par la Chambre des Mises en Accusation de la Cour d’appel de Mons en date du 21 avril dernier, confirmant un non-lieu au bénéfice de mon client dans le cadre de l’instance pénale. …. Quant à la procédure pénale en Italie, je n’ai à ce jour aucune information à propos des intentiions de Mme Maoloni quant à la poursuite de la procédure pénale à charge de mon client en Italie. Je suppose, compte tenu du recours introduit en Belgique, que la procédure sera poursuivie en Italie à l’égard de mon client. Vous comprendrez, dans ce contexte, que mon client émette les plus nettes réserves à l’égard de l’attitude de la partie appelante et ne puisse raisonnablement être rassuré quant aux intentions de Mme Maoloni qui persiste à le présenter comme « pédophile en puissance ». Aucun accord ne pourra être acté à l’audience du 13 mai prochain… »

Dans le procès verbal de l’audience du 22 avril 2009 (voir annexe), le Président de la Cour d’appel de Mons, Monsieur Wustefeld Pierre-André stipulait : « …les parties conviennent d’envisager provisionnellement un dispositif susceptible de permettre, dans le respect de l’intérêt des enfants et de chacune des parties, d’entamer une reconstruction du lien entre les enfants et Maria-Pia Maoloni. A cet effet, pour permettre aux parties de proposer à la cour un dispositif concret, et de l’avis favorable du Ministère Public, la cour met la cause en continuation à l’audience du mercredi 13 mai 2009 à 17H40 pour 20’ ».
Bizarrement, à l’audience du 13 mai 2009, ce même juge adopta une attitude totalement différente et décida de renvoyer les débats en novembre 2009 (donc, six mois plus tard !). Que s’est-il passé entre l’audience du 22 avril et celle du 13 mai ? La réponse est le pourvoi en Cassation que j’ai déposé le 05 mai 2009,contre la décision de non-lieu relative au dossier pénal pour viols sur mineurs. En effet, à travers cette action, je maintiens ouverte la procédure pénale en Belgique.

Dans ce contexte, il est aisé de comprendre que l’intérêt de mes enfants et leur bien-être sont complètement bafoués par les pervers institutionnalisés de Mons. Leur objectif étant de clôturer au plus vite ce dossier pénal belge qui semble déranger la tranquilité de ces derniers. Ils se servent de mes enfants comme objets de chantage affectif afin que je me soumette à leur dictat qui se trouve partout en filigrane dans mon dossier : « tant que vous continuez votre bataille, vous ne reverrez pas vos enfants ! »
Les pervers institutionnalisés de Mons utilisent mes enfants comme moyens de rétorsion afin que j’enlève mes plaintes de viols sur mineurs et de cette façon, qu’ils puissent définitivement mettre un couvercle sur cette marmitte bouillante qui dérange tant la sérénité perverse de ce réseau pédo-criminel.

L’amour incomensurable que j’éprouve pour mes deux enfants et la foi me guident dans cette bataille infernale et m’aident à garder espoir en une justice propre et indépendante ou’ « la loi est égale pour tous » et ou’ les jeunes victimes, en l’occurrence mes deux filles, sont reconnues dans leur statut de victime afin qu’elles puissent enfin se reconstruire dans ce monde d’adultes qui leur a laissé des cicatrices douleureuses et indélébiles.
J’espère que cette justice n’est pas seulement une illusion ! La justice est humaine et donc comporte ses propres limites : celles de la connaissance théorique, celles de la connaissance exacte des faits, celle de ses propres choix individuels afin de pouvoir rester intègre malgré les pressions subies…

Ce sera notre persévérance et notre intolérance contre la pédophilie qui sauveront tous les enfants qui ont besoin de nous pour vivre avec dignité dans ce monde. La pédophilie est un cancer social car au-delà de la perversion individuelle, nous devons combattre les personnes et parfois même les institutions entières qui, derrière leur fonction sociale légitime et respectée, protègent et donc cautionnent la pédophilie sous toutes ses formes.

MAOLONI Maria-Pia
« Sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière »

ARTICLE TRADUIT EN ITALIEN :
ORGANIZZAZIONE PEDO-CRIMINALE :
QUANDO LA DEMOCRAZIA PRENDE I COLORI DELLA DITTATURA

 
Mi chiamo MAOLONI Maria-Pia, la mamma di Fiona (10 anni) e Milla (6 anni), due innocenti vittime della perversione adulta. La mia lotta per la salvaguardia delle mie bambine non e’ solo una battaglia contro la pedo-criminalità organizzata ma rappresenta una guerra contro l’indifferenza e l’ignoranza delle persone davanti al massacro dell’innocenza dei nostri figli. Questa rete pedo-criminale ben strutturata non e’ solo composta da perversi pedofili ma anche dai lori complici, i « perversi istituzionalizzati », che le proteggono o chiudono gli occhi davanti a questi crimini contro l’umanità. Questi complici occupano spesso delle posizioni nella scala sociale abbastanza elevate nelle cosidette "alte sfere" della società, e anche al livello del sistema giudiziario. Gli obbiettivi di questa rete sono principalmente : il potere, il piacere perverso e i soldi. Per raggiungere tali scopi, i lori mezzi sono : l’omertà della stampa ; la ritorsione (minaccie, intimidazioni) per sfruttare cosi le paure della gente ; diffondere delle false informazioni per screditare ed insabbiare la verità su questi crimini, lasciare i cittadini nella totale ignoranza verso questo perfido mondo ; ed infine, isolare le vittime e le persone che hanno il coraggio di difenderle.
L’isolamento del bambino abusato e del genitore protettore e’ una delle finalità ricercate dai perversi istituzionalizzati.
ISOLAMENTO DEL BAMBINO VITTIMA DELLA RETE PEDO-CRIMINALE
 

Infatti, la trappola e’ di fare credere che il bambino sarà collocato in un contesto « neutro » per permettere alla « giustizia » di prendere le decisioni nell’ «interesse superiore » del bambino. In questo modo, il bambino si ritrova collocato dentro un istituto per un lungo periodo e quindi, sotto il controllo giudiziario. Questa cosa avrà come conseguenza sul bambino di sentirsi punito di aver parlato delle violenze sessuali che ha subito. Quindi, il bambino, già vittima di abusi sessuali, diventa vittima di abuso giudiziario. In conseguenza, sotto il peso di questi sentimenti di colpa, il bambino avrà delle difficoltà a confidarsi di nuovo sul suo vissuto di vittima. Il bambino soffre di un profondo sentimento di abbandono davanti a questo pesante fardello di traumi sessuali subiti, costretto a portarlo solo e in silenzio. Di piu’, il sentimento di disperazione del bambino vittima di abusi sessuali e collocato in istituto, sarà accentuato dal fatto che si ritrova separato dal suo contesto familiare e dal suo genitore protettore. L’articolo 38 del decreto dell’aiuto alla gioventu’ (in Belgio) e’ diventato una trappola per le innocenti vittime violentate e per il genitore protettore. Infatti, delegando il loro « potere di decisione » al direttore del SAJ (Servizio di Aiuto alla Gioventu’) o al SPJ (Servizio di Protezione Giudiziario), certi giudici si deresponsabilizzano davanti alla protezione effettiva del minore nei confronti dei lori carnefici sessuali. Se il genitore protettore non e’ daccordo con questa decisione di collocamento da parte del SAJ o del SPJ, lui potrà fare un ricorso sulla base dell’articolo 37 del decreto dell’aiuto alla gioventu’. Tuttavia, e’ importante sapere che questo preteso ricorso e’ anche un tranello per le vittime, poichè spesso, il genitore si ritrova davanti allo stesso giudice dei minori che, nella maggiore parte dei casi, confermerà la decisione del direttore dell’aiuto alla gioventu’, cioe’ la decisione di collocare il bambino in istituto per allontanarlo dal suo genitore protettore. Quindi il ciclo e’ chiuso ! La tattica di questi perversi istituzionalizzati e’ di imprigionare il bambino per allontanarlo dal genitore protettore. Quindi, il bambino si ritrova in un istituto dello Stato, in « attesa » di una decisione che permettrà di sistemarlo dal genitore carnefice e non protettore. Il collocamento in istituto serve da trampolino per le istituzioni giudiziarie onde poter avere un controllo sulle decisioni di allontamento rapide del bambino dal suo genitore protettore. Vi faranno credere che sarà une periodo di collocamento « molto breve » per permettervi di « prendere una certa distanza » e per permettere alla giustizia « di chiarire la situazione »… Vi diranno pure che « e’ nell’interesse superiore del bambino » (bella frase usata in tutti modi per farvi ingoiare il rospo!). Il primo obbiettivo ricercato dalla rete pedo-criminale e’ quindi raggiunto : isolare il bambino vittima per così proibirgli di esprimersi sui crimini sessuali subiti. Nonostante queste pressioni e queste sofferenze inflitte, se il bambino ha il corraggio di esprimersi ancora sul suo vissuto traumatico, i perversi istituzionalizzati affermeranno che il bambino « ha molto fantasia » o e’ stato « alienato » dal genitore protettore e quindi « non e’ credibile ». In questo modo, evitando di proteggere le mie bambine contro le violenze sessuali che loro hanno subito e affidandole nel contesto paterno pedofilo, il sistema istuzionale e giudiziario di Mons (Belgio) diventa complice di questi crimini. Le mie bambine sono diventate « oggetto di ricatto » per obbligarmi a togliere le denuncie penali e chiudere tutte le procedure a carico del padre, Rocco Antonini e del nonno paterno, Roberto Antonini. Quando vivevo in Belgio con le mie bambine, ho bussato a tutte le porte delle istituzioni belghe per chiedere aiuto (Child Focus, Aiuto alle Vittime, Servizio di Aiuto alla Gioventu’, SOS bambini, Associazioni per l’infanzia, etc.). Tutte queste istituzioni che rassicurano la coscienza collettiva, dopo l’affare Dutroux in Belgio, e che tentano di dimostrare che il bambino e’ protetto e ben tutelato in questo paese !! La morsa si chiudeva intorno a noi ! Io e le mie bambine eravamo disperate e nessuno ci ha aiutato ; siamo state incastrate ! Le mie bambine sono vittime di una rete di pedofili.Aspetto GIUSTIZIA già da cinque anni ! Ci credo ancora poichè continuo le procedure giudiziarie. Tuttavia, spero per le mie bambine, che sono attualmente tra le mani di questi criminali e che questa giustizia non sia un’utopia ! La giustizia diventa un’utopia quando la verità e’ ostacolata dalla corruzione. L’unico modo per vigilare alla manifestazione della verità, in un paese democratico, e’ di permettere ai cittadini di mantenere uno sguardo critico sullo svolgimento delle procedure giudiziarie relative alla pedocriminalità. Questo attraverso i canali d’informazioni che danno accesso ad un pubblico largo, come internet e i media (quando loro mantengono la loro indipendenza e hanno il corraggio di affrontare il problema della pedo-criminalità ! In Belgio, nel mio caso, e’ l’omertà assoluta da parte dei media !). Nonostante tutte le pressioni e ritorsioni che le autorità di Mons mi hanno fatto subire fin ora, continuo a lottare per la manifestazione della verità sugli stupri e la prostituzione delle mie bambine. Malgrado la mia profonda tristezza ed il cuore lacerato di una mamma, resisto al loro ricatto perchè fermare da parte mia le procedure giudiziarie significherebbe abbandonare le mie bambine al loro vissuto di vittime violentate. Per le vittime di crimini sessuali, e’ fondamentale per poter ricostruirsi, di avere un riconoscimento di questo statuto di vittima. Le autorità di Mons hanno voluto invertire i valori facendo credere che le mie bambine fossero delle bugiarde al posto di essere vittime. Questo atteggiamento e’ una negazione di giustizia nei confronti delle mie bambine e quindi, una negazione del diritto ! Non bisogna essere grandi esperti in materia giudiziaria per capire che, nel quadro del mio dossier, l’arbitraria interpretazione della legge da parte dell’autorità di Mons e sopratutto la sua non applicazione, sono finalizzate all’unico scopo di nascondere la VERITA’ degli abusi sulle mie bambine, proteggiendo in questo modo un’organizzazione pedo-criminale ! Abbiamo tutti capito, almeno io di certo, che questa vicenda « soprapassa » gli Antonini e che le decisioni della giustizia di Mons (Belgio) sono sistematicamente orientate in favore degli Antonini al solo scopo di proteggere altre persone complici di questi crimini inflitti alle mie bambine. Questo, malgrado un numero impressionante di testimonianze, di attestati medici e relazioni di valutazione psicologica sulla credibilità delle rivelazioni di abusi subiti dalla mia bambina primogenita. Fiona aveva quattro anni e mezzo quando si e’ espressa sulla violenza sessuale subita dal suo padre, dal suo nonno paterno e dagli altri adulti (in gennaio 2004). Lei ha continuato a parlare ed a disegnare l’orrore del suo vissuto fine al maggio 2007, qualche giorno prima del suo rimpatrio in Belgio. Quindi, nell'arco di tre anni, mia figlia ha avuto il corraggio, malgrado tre collocamenti in istituto, di raccontare e chiedere « aiuto » per poter, noi adulti, liberarla da tutte queste sofferenze. Ma nessuna autorità ha avuto, fin adesso, la volontà di opporsi a questi crimini e di proteggere le mie bambine. PERCHE ???La libertà che mi è stata privata ILLEGALMENTE in seguito al mandato di arresto illeggittimo emesso dal Tribunale di Mons (Belgio) ; la sottrazione ILLEGALE e il sequestro delle mie bambine da parte delle autorità belghe ; la separazione dalle le mie figlie e il rifiuto (ILLEGALE) di ogni contatto con la lora mamma, tutta la famiglia materna e le mie bambine (sono trascorsi già DUE ANNI !) ; l’assenza totale di protezione per le mie bambine contro la violenza sessuale che loro continuano ancora a subire attualmente nel contesto paterno ; le accuse NON FONDATE sul mio equilibrio mentale emesse da sedicenti psicologhi incompetenti (C-bex di Mons-Charleroi : la signora Regini Laurence, la signora Fadeur Isabelle, il signore Baeskens-Charlier Alain, la signora Delmotte Natacha) sulla base di una relazione bidone (la signora Saint Huile) ; i falsi ideologici e le calunnie scritte contro di me da persone che non mi conoscono (SPJ di Mons : la signora Anne Lethé-de Greef, SOS-Enfant di Mons : il signore Gallez Michel) ; documenti del dossier scomparsi nel nulla,( volutamente fatti sparire) ; il ricatto affettivo del direttore dell’aiuto alla gioventu’ di Mons (il signore Bensaïda Taoufik) ; il processo nei miei confronti… rappresentano una gigantesca violazione della Convenzione Internazionale dei Diritti de l’Uomo e del Bambino, realizzata e perpretata dalle autorità di Mons. E’ ora che il Tribunale di Mons smetta di agire illegalmente e scandalosamente nei confronti dei delitti ed abusi inflitti a due innocenti vittime, che sono le mie bambine. Con le loro decisioni (procedure civile volontariamente rallentate e archiviazione accelerata del dossier penale), le autorità di Mons coprono volutamente e in tutta evidenza gli atti criminali degli Antonini diventando loro complici. Le loro decisioni hanno perso tutta la credibilità davanti ai cittadini belghi e internazionali e davanti alle autorità italiane, perchè pongono volontariamente le mie bambine in una condizione di pericolo permanente rappresentato dalla violenza sessuale e degli abusi che subiscono nel contesto paterno nel quale loro si trovano attualmente. Quindi e’ URGENTE che questi delitti gravi ed inumani cessino ! I disfunzionamenti visibili e ben reali che appaiono nel mio dossier sono la prova evidente di una volontà di nuocere alla manifestazione della verità relative agli stupri commessi sulle mie bambine dagli Antonini e i lori complici.
ISOLAMENTO DEL GENITORE PROTETTORE
Il genitore protettore, fidandosi della giustizia del suo paese e delle istituzioni di aiuto per l’infanzia, avrà il riflesso, come chiunque altro genitore trovandosi nella stessa situazione, di rivolgersi a loro per depositare le rivelazioni di abusi subite dal suo bambino e sperare cosi che tali istituzioni mettano in campo ogni tipo di contromisura atta a tutelare nel miglior modo possibile il minore vittima di abusi.. Ahimé, il genitore protettore si renderà conto rapidamente della sua grande solitudine davanti all’aiuto che desiderava avere per il suo bambino, sopratutto quando capirà che i perversi istituzionalizzati vogliono separarlo da lui ed incriminarlo di una « pseudo-pericolosità » per, cosi, screditarlo ed insabbiare la verità degli atti criminali commessi sul suo bambino dai membri della rete pedofila. Come isolare il genitore protettore cioe’ quello che vuole proteggere il suo bambino dalla violenza sessuale che ha subito ? Gli obbiettivi ricercati dai perversi istituzionalizzati sono identici a quelli ricercati per isolare il bambino vittima di abusi sessuali, ossia:
Isolamento psicologico :
Rendere il genitore protettore non credibile etichettandolo come « alienante » per il suo bambino, cioe’ colpito della « sindrome di alienazione parentale (SAP)». Il SAP e’ stato definito in 1986 da Richard Gardner, professore di pedopsichiatria all’università di Columbia. Secondo lui, riguarda un disordine psicologico che colpisce il bambino quando uno dei suoi genitori elabora su di lui, in un modo implicito, un « lavaggio del cervello » allo scopo di distruggere l’immagine dell’altro genitore. Quando l’operazione e’ riuscita, il bambino rigetta o demonizza questo genitore che prima amava. Questa teoria e’ pericolosa non nel suo fondamento ma nell’uso che ne fanno i perversi istituzionalizzati per, cosi, procedere all’allontanamento del genitore protettore dal suo bambino. Infatti, questa teoria e’ spesso usata nelle procedure giudiziarie come strategia per screditare il genitore protettore e, quindi rendere poco credibile le rivelazioni di abuso subite dal suo bambino. I perversi istituzionalizzati dichiareranno che il genitore protettore ha una « relazione simbiotica » con il suo bambino, che e’ « alienante » per lui e quindi, e’ « pericoloso ». In questo modo, si procede al collocamento in istituto del bambino per allontanarlo del suo genitore protettore. Questa teoria sarà usata nei casi dove non ci sono segni fisici di abuso sessuale sul bambino. Invece, nei casi di bambini vittime di abusi sessuali dove ci sono segni fisici di questi abusi (fissure anali, vulvite, vaginite, lesioni dell’imene), i perversi istituzionalizzati dichiareranno che il genitore protettore e’ colpito da una malatia psichiatrica : « la sindrome di Münchausen per procura ». Questa sindrome e’ un disturbo del comportamento di un adulto nei confronti di un bambino : ossia il maltrattamento dell’adulto sul bambino che consiste nella provocazione volontaria di sintomi fisici o psicologici. In questo modo, etichettando il genitore protettore come « alienante » o « malato pericoloso », sarà piu’ facile, per i perversi istituzionalizzati, separarlo dal suo bambino. L’abuso di queste due teorie nelle procedure giudiziarie aggiungerà un altro trauma al bambino poichè non sarà creduto nel suo drammatico racconto, e quindi, gli sarà totalmente negata ogni fiducia nella sua descrizione della sofferenza e violenza subita.
Isolamento fisico e/o geografico :
Questa seconda tappa e’ consecutiva alla prima (isolamento psicologico). In questo caso, il genitore protettore, definito « pericoloso » dai perversi istituzionalizzati sarà isolato in una struttura psichiatrica o carcerale.
Isolamento sociale professionale : Questa terza tappa e’ consecutiva alle due precedenti (isolamento psicologico e fisico e/o geografico). Lo scopo ricercato dai perversi istituzionalizzati e’ di isolare il genitore protettore dal suo contesto sociale e familiare : deteriorare la sua identità psicologica, sociale e professionale. Le spese per le procedure e la persecuzione guridico-istituzionale nei confronti del genitore protettore aumenteranno la sua disperazione psicologica ed economica. Le spese per le procedure giudiziarie e’ un altro mezzo usato dai perversi istituzionalizzati per ostacolare la manifestazione della verità dei crimini inflitti sul bambino vittima, per impedire cosi al genitore protettore di continuare le sue azioni giudiziarie. Tutto questo e’ il riflesso del nostro dramma vissuto durante cinque anni per tentare di salvaguardare le mie due bambine dall’inferno della pedo-criminalità. Voglio precisare che il mio vissuto mi appartiene e quindi, non lo voglio trasporre ad altre situazioni. Neppure non voglio generalizzare la mia storia, che si e’ orientata dai perversi istituzionalizzati verso la protezione criminale, piuttosto di orientarla verso la protezione delle mie bambine. Sarebbe eccessivo da parte mia affermare che tutte le persone impiegate e che lavorano presso il Tribunale o nelle istituzioni di Mons (Belgio) siano corrotte o non si assumano pienamente le loro responsabilità. I perversi istituzionalizzati che hanno avuto un ruolo nella non protezione delle mie bambine si riconoscerano e dovranno, un giorno, espiare la lora coscienza, sperando che ne abbiano una ! L’aiuto tanto ricercato per le mie bambine e che non ho trovato in Belgio, mi ha costretta a venire in Italia nello scopo che giustizia sia fatta e che, finalmente, le mie bambine siano riconosciute vittime di abusi sessuali da parte del padre (Antonini Rocco), del nonno paterno (Antonini Roberto) e di altri adulti (il padre e il nonno hanno portato la mia bambina, Fiona, in diversi luoghi dove altri adulti erano presenti e hanno abusato di lei e di altri bambini- esistono testimonianze al riguardo già agli atti). Seguito al mandato di arresto europeo per sottrazione di minori emesso dalla giudice Laloux Veronique del Tribunale di Mons (Belgio), sono stata arrestata in Italia. Sono rimasta quattro giorni in prigione e seidici giorni di arresti domiciliari. Dopo, sono stata giudicata dalla Corte di Appello di Ancona (Italia) e liberata senza condizione. Al momento del mio arresto, le mie bambine sono state strappate da me e collocate in istituto in Italia, per 7 mesi. Ho potuto avere il diritto di visita solo due mesi dopo il collocamento delle mie bambine, con solo quattro ore al mese per gli incontri. Le mie bambine erano disperate e si sentivano perse in un contesto straniero poichè loro non conoscevano e capivano la lingua italiana (essendo la lora madrelingua il francese) ed erano strappate dalla lora famiglia e dai lori riferimenti familiari. Nonostante le pressioni delle autorità belghe per rimpatriare le mie bambine, la Corte d’appello di Ancona (Italia) ha revocato il rimpatrio in Belgio, tenendo conto del pericolo che avrebbero potuto correre se fossero ritornate dal loro padre in Belgio. Non esistono parole per esprimere l’immensa sofferenza che io, le mie bambine e tutta la mia famiglia abbiamo provato e proviamo tuttora. E’ un’agonia lenta e dolorosa( una morte a goggie) che subiamo nel nostro quotidiano ; questa davanti all’impotenza delle persone che ci sono vicine e che ci sostengono, ma anche davanti alla vigliaccheria e il disinteresse assoluto delle autorità e delle istituzioni che potrebbono prendere delle decisioni per la salvaguardia delle mie bambine, e che non fanno niente ! Il 17 maggio 2007, il Tribunale dei minori di Ancona (Italia), che non era competente, ha emesso una decisione di rimpatrio delle mie bambine, in Belgio. Questa decisione ha quindi cavalcato ILLEGALMENTE quella della Corte d’appello di Ancona (che aveva precedentamente revocato il rimpatrio). Il 19 maggio 2007, nella segretezza piu’ assoluta e senza essere stata informata, le mie bambine sono state prelevate, durante una passeggiata con gli altri bambini dell’istituto, e rimpatriate in Belgio dal loro padre carnefice. Nel maggio 2008, la Corte Suprema di Cassazione di Roma ha cassato la decisione emessa dal Tribunale dei minori di Ancona, ha riconosciuto la sua incompetenza e ha affermato il mantenimento delle mie bambine sul territorio italiano. Ma era troppo tardi ! Le mie bambine sono attualmente in Belgio ! Sono trascorsi due anni che non ho nessuna notizie delle mie bambine. Il padre e i perversi istituzionalizzati di Mons si oppongono categoricamente ad ogni contatto tra me e le mie bambine (neanche al telefono !), disinteressandosi completamente dellinteresse delle mie bambine e negando totalmente le leggi internazionali sui Diritti del bambino e dell’Uomo. Nonostante le diverse richieste che io e i miei genitori abbiamo depositato per ottenere questi contatti, le autorità di Mons (Belgio) rimangono ermetiche e utilizzano diverse giustificazioni per allontanare questi contatti : rallentamento delle procedure civili, rinvio delle udienze al ruolo, date delle udienze fissate a dei periodi lunghi (9 mesi ad un anno tra due udienze), … La totale negazione di contatti con le mie bambine serve, per i perversi istituzionalizzati, come ricatto affettivo per costringermi a togliere e far cadere la procedura penale in corso e quindi cancellare le mie accuse di stupri su minori a carico del padre, del nonno paterno e « X » (altre persone complice in questa rete). I nfatti, il 21 dicembre 2007, il direttore del Servizio di Protezione Giudiziario e dell’Aiuto alla Gioventu’ di Mons, il signore Bensaïda Taoufik, mi convocava per un colloquio previsto il 20 dicembre 2007. Non potevo essere presente perchè bloccata in Italia in seguito al mandato di arresto europea emesso dal mio ex-marito ANTONINI Rocco per sottrazione di minori (questo mandato di arresto è stato revocato in Italia). Quindi, solo i miei legali, il padre e il suo legale potevano essere presenti a questo incontro del SPJ. Durante questo colloquio, il signore BENSAIDA Taoufik dichiarava che un contatto telefonico sarebbe stato autorizzato tra me e le mie due bambine il 21 dicembre 2007 alle ore 17. Una semplice telefonata che rappresentava per me una grande speranza poichè non ho più notizie delle mie bimbe da quanto loro sono state rimpatriate in Belgio cioe’ il 19 maggio 2007 (quindi erano trascorsi 10 MESI). Ogni contatto anche telefonico mi è stato negato dal padre e i suoi legali, l’avvocato BARTHELEMY Jean-Emmanuel e l’Avvocato DEPETRIS Nathalie, avvocati del foro di Mons (Belgio). Il 21 dicembre 2007, invece di sentire al telefono le mie bambine, come era previsto, parlavo con il direttore del SPJ, il signore BENSAIDA. Un ora di conversazione dove lui mi spiegava che dovevo cessare la « guerra », « cambiare atteggiamento » e « evitare di fare troppo baccano » attorno a questa storia se volevo rivedere le mie bambine. Il signore BENSAIDA mi ha suggerì di togliere le accuse di pedofilia a carico del padre e del nonno paterno. Recentamente, all’udienza del 22 aprile 2009, il giudice della Corte d’appello di Mons (Belgio) aveva deciso di rinviare l’udienza al 13 maggio 2009 per potere organizzare le modalità di contatti con la web-cam, tra me e le mie bambine. Occore precisare che le autorità di Mons hanno accelerato l’archiviazione del dossier penale per stupri su minori a carico degli Antonini (padre e figlio). Infatti, quattro giorni prima dell’udienza preliminare per il rinvio al giudizio di Roberto Antonini davanti al Tribunale di Fermo (Italia), il Tribunale di Mons aveva deciso di archiviare l’istruzione penale basata sugli stessi fatti (strupri su minori). Nell’unico intento di dimostrare alle autorità italiane che non esiste nessuna imputazione contro gli Antonini, archiviando in fretta il dossier penale. Nonostante questa decisione belga, il Tribunale di Fermo (Italia) ha mantenuto il rinvio al giudizio del nonno e ha fissato il processo penale per il 08 luglio 2009, per i reati di stupri su minori a carico di Roberto Antonini. Contro questa decisione di archiviazione relative al dossier penale belga, ho depositato un ricorso in Cassazione, il 05 maggio 2009. In seguito a questo fatto, il padre ed il suo legale, l’avvocato Barthélémy Jean-Emmanuel (del foro di Mons-Belgio) hanno scritto al giudice della Corte d’appello di Mons, per cosi esprimere la lora opposizione nella ripresa dei contatti tra me e le mie bambine (vedere la lettera dell’avvocato Barthélémy, in data del 11 maggio 2009). Nella sua lettera, l’avvocato Barthélémy spiega questo rifiuto, in questo modo : « …non e’ possibile per il mio cliente di intraprendere un qualsiasi accordo poichè siamo stati informati che la signora Maoloni ha depositato un ricorso in cassazione contro la decisione di archiviazione emessa dalla Corte d’appello di Mons in data del 21 aprile scorso e che riguarda l’archiviazione della procedura penale… Per quanto riguarda la procedura penale in Italia, non ho nessuna informazione relative alle intenzioni della signora Maoloni per quanto riguarda il mantenimento della procedure penale a carico del mio cliente, in Italia. Suppongo, seguito al ricorso in cassazione introdotto in Belgio, che la procedura sarà proseguita in Italia nei confronti del mio cliente. Quindi, Lei capirà che, in questo contesto, il mio cliente emette delle riserve nei confronti dell’attegiamento della parte avversa e quindi, non puo’ essere rassicurato per quanto riguarda le intenzioni della signora Maoloni che persiste a presentarlo come « un pedofilo in potenza ». Nessuno accordo sarà accettato all’udienza del 13 maggio 2009… » Nel verbale dell’udienza del 22 aprile 2009 (vedere allegato), il giudice della Corte d’appello di Mons, il signore Wustefeld Pierre-André afferma : « ….le parti devono prevedere un dispositivo che permette, nel rispetto dell’interesse delle bambine e delle parte, di cominciare una ricostruzione del legame tra le bambine e Maria-Pia Maoloni. In questo senso, per permettere alle parti di proporre alla Corte un dispositivo concreto, e con il parere favorevole del Ministero Pubblico, la Corte rinvia la causa in continuazione all’udienza del 13 maggio 2009 alle ore 17.40 per 20’ ». Stranamente, all’udienza del 13 maggio 2009, questo stesso giudice ha avuto un attegiamento totalmente diverso e ha deciso di rinviare la causa a novembre 2009 (cioe’, sei mesi piu’ tardi !). Cosa e’ successo tra l’udienza del 22 aprile e quella del 13 maggio ? La risposta e’ il ricorso in cassazione che ho depositato il 05 maggio 2009, contro la decisione di archiviazione relative al dossier penale per stupri su minori. Infatti, attraverso questa azione, mantengo aperta la procedure penale in Belgio. In questo contesto, e’ facile capire che l’interesse delle mie bambine ed il loro benessere sono completamente calpestati dai perversi istituzionalizzati di Mons. Il loro obbiettivo e’ di archiviare al piu’ presto, questo dossier penale belga che sembra disturbare la lora tranquilità. Si servono delle mie bambine come oggetto di ricatto affettivo per potere sottomettermi alla lora dittatura che si traspare ovunque tra le righe del mio dossier : « fin quando continuerete la vostra battaglia, non rivedrete piu’ le vostre bambine ! » I perversi istituzionalizzati di Mons usano le mie bambine come mezzo di ritorsione per obbligarmi a togliere le mie denuncie per stupri su minori ; cosi loro potranno mettere un coperchio su questa patata bollente che disturba tanto la serenità perversa di questa rete pedo-criminale. L’amore incommensurabile che provo per le mie bambine e la fede, mi guidano in questa battaglia infernale e mi aiutano a mantenere la speranza di una giustizia pulita ed indipendente dove « la legge e’ uguale per tutti » e dove le vittime, le mie figlie, potranno essere riconosciute nel loro statuto di vittima per ricostruirsi in questo mondo di adulti che ha lasciato loro delle cicatrici dolorose e indelebili. Spero che questa giustizia non sia solo un’illusione ! La giustizia e’ umana e quindi comporta dei limiti : quelli della conoscenza teorica, quelli della conoscenza esatta dei fatti, quelli delle scelte individuali per potere rimanere integra nonostante le pressioni subite… Sarà la nostra perseveranza e la nostra intolleranza contro la pedofilia che salveranno tutti i bambini che hanno bisogno di noi per vivere con dignità in questo mondo. La pedofilia è come un cancro sociale perchè al di là della perversione individuale, dobbiamo combattere le persone ed a volte anche le istituzioni intere che, dietro la loro funzione sociale legittima e rispettata, proteggono e quindi agevolano la pedocriminalità in tutte le sue forme.
MAOLONI Maria-Pia
« Salvare un bambino e’ salvare l’umanità intera »

9 commentaires:

  1. Je te souhaite plein de courage.
    Surtout ne perd pas espoir. Nous souhaitons tous que tu puisses revoir tes filles au plus vite.

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  2. En FRANCE à ST MALO/DINAN
    Même affaire, même méthode
    "LA LOI DU SILENCE" imposée par la JUSTICE FRANCAISE
    un papa ne voit plus sa fille, depuis qu'elle a dénoncé les abus sexuels, dont elle était victime dans sa famille maternelle,
    La Justice FRANCAISE isole le papa protecteur,
    Il y a urgence, à protéger les enfants des abus sexuels dans leur famille,
    Que devient la parole de l'enfant ?
    UN PIEGE pour l'enfant, et son parent protecteur,
    UNE RECOMPENSE POUR LES ABUSEURS D'ENFANTS qui obtiennent la garde de l'enfant
    tandis que le PERE PROTECTEUR VOIT SES DROITS RETIRES, sans aucune raison

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  3. BJR

    Elles vont bientôt revenir auprès de leur mère...

    ;)

    ACTION JUSTICE

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  4. Même chose dans le sud (narbonne & cap d'agde).

    Un petite fille enlevée à son papa car il a dénoncer des abus sexuels fait à sa fille par le grand-père de la maman (lui même a déjà fait la même chose à sa fille...)

    Affaire étouffer par le procureur de Bézier

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  5. ho trovato su FACEBOOK una certa fiona antonini, ma non mi azzardo a contattarla; solo la segnalo qui... chissà.

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  6. 1° Un étudiant a fabriqué avec votre professeur chinois un horax, lui a mis dans la bouche des propos qu'il n'a pas tenu. Une telle référence risque de discréditer par contagion tous vos commentaires.
    2° Pour être plus percutant, plus précis, modifiez vos définitions littérairement manipulées.
    Votre réaction au post Pédophilie : Un baby Sitter Hollandais arrété il aurait abusé de plusieurs enfants en bas âge a été modérée par son auteur, FullHdReady.

    Cordialement,
    L'équipe de modération du Post.fr
    http://www.lepost.fr/

    Pour rappel, le texte de votre réaction était:
    « Seule la vérité offense ». Or, pour les illuminés divins de leur irrationnelle vérité céleste inspirée, la vérité rationnelle, elle, acquise par des efforts scientifiques de l’apprentissage n’est qu’un vulgaire mensonge blessant, un blasphème diabolique même (Saint Augustin). Mais les curieux peuvent retrouver ma glose censurée sur la définition rationnelle du terme « pédophile » sur la page 9 de mon blog « dietrichp13.wordpress.com » avec, à la fin encore une autre glose de la mon inspiration.
    « Heureux les pauvres d’esprit, car le royaume des Cieux appartient à eux ». Bible.
    Texte auparavant censuré à la suite des protestations des bondieusards illuminés de leur vérité “de la laïcité positive” chère à Sarko. « Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tombent tous dans un trou ». Jésus.
    Nouvelobs. 12 décembre 2010. Réaction (non censurée) à Pédophilie : le Vatican refuse de coopérer à une enquête irlandaise
    Les euphémismes et le « politiquement correcte » par le galvaudage du noble sont des mensonges de travestissement de vérité. Soignez donc votre vocabulaire hommes des sciences et les juges. Le suffixe de pédophile, gérontophile, nécrophile zoophile, bibliophile signifie «celui qui aime », c'est-à-dire désigne un comportement louable, normal. Jésus, (« Laissez les petits enfants et ne les empêchez de venir à moi... »), a été un authentique pédophile, (comme des parents aimant leurs enfants). Or la philanthropie du Fils de Dieu n’avait rien à voir avec la misanthropie dénuée de tous scrupules de ses prêtres pervers ne cherchant que l’assouvissement effréné de leurs appétences désaxées.
    Il en va de même pour les personnes aimantes « nécrophiles » en deuil, vénérant les dépouilles de leur proche décédé, le vétérinaire « zoophile » vouant sa science à la santé des animaux, le maître-chien « cynophile » qui choie son animal. Va-t-on accuser les bibliophiles de se livrer à des lubricités perverses avec leurs livres ou à des ébats obscènes contre la nature dans les bibliothèques ? Le véritable suffixe qui s’impose pour désigner le comportement des pervers sexuels est « satyre », à savoir pédosatyre, nécrosatyre, zoosartyre, référence fait au demi-dieu lubrique de la Grèce antique du viol Satyre ou Satyrus à cornes et pieds de chèvre. Mais ce ne sera pas demain la veille que la littérature « politiquement correcte » diabolisera par une terminologie exacte nos saints pères désaxés, voués au satyrisme et même parfois carrément au satanisme, culte « procurant aux adeptes tous les félicités sur terre : pouvoir politique, richesses et plaisirs » (Sic). (Une messe noire est célébrée par le rite scénarisé d’un prêtre officiant du saignement d’un nourrisson égorgé sur le ventre d’une jeune femme allongée nue sur l’autel d’un sanctuaire des cultes officiels).
    « Le culte du démon n’est pas plus insane que celui de Dieu ». Huysmans.

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  7. sono una ragazza di 20Anni..sto seguendo la vostra storia da tempo )..mi fa male il cuore..come si fa?maledetti bastardi non cè legge per le vittime..sono passati 4anni!!ci rendiamo conto che quelle bimbe è 4anni che sono nelle mani di quegli orchi?!quanto ancora dovranno soffrire?quanto?tradite da chi gli ha dato la vitA..da un padre malato che FA L INSEGNANTE IN UN SCUOLA PER BIMBI AFFETTI DA DAWN INVECE DI ESSERE RINCHIUSO IN GALERA DOPO AVER SUBITO LA CASTRAZIONE CHIMICA!!!Cè L AVESSI FRA LE MANI A STO MALEDETTO TI SONO VICINA PER QUANTO PUO NON SERVIRE SPERO CHE RIABBRACCIERAI PRESTO LE TUE FIGLIE.. SE TI VA PASSA A VEDERE IL MIO VIDEO CONTRO LA PEDOFILIA E PUBBLICALO SUL TUO PROFILO!PERCHè DOBBIAMO FARE QUALCOSA BASTA FARE I MUTI I SORDI E I NON VEDENTI!!!UN BACIO..CORAGGIO NON ARRENDERTI http://www.youtube.com/watch?v=tWMc5NG1EfE

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  8. bjr madame je peux comprendre votre douleur je suis approximativement ds le mm cas ke vs moi se sont mes 5 ENFTS que la justice ma enlever , de par une manipulation du pere , les 3 plus grds ont menti au tribunal a mon égard , et en a donner la garde totale o pére ki a fait des gestes déplacer enver 2 de mes enfts , d'autant plus kil a eté pris en adultére avec une fille a peine agée de 16 ans ds son lit ( lui en ayant 34 ), si vs voulez en savoir plus envoyer moi un email , cassie2011@live.be

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