dimanche 24 mai 2009

CENSURE DE L'AFFAIRE MAOLONI/ANTONINI PAR LA JUSTICE DE MONS/BELGIQUE

CENSURE DES ARTICLES DE L'ASSOCIATION DROIT FONDAMENTAL / PRINCESSE DE CROY

Jan Boeykens 'LIBERTE DE LA PRESSE'

Princesse J. de Croÿ a reçu justement une lettre recommandé de la police fédérale avec un copie du requisitoire du Juge d'Instruction Véronique Laloux de l'arrondissement judiciaire de Mons.

Mons, 9.4.2010
Police Fédérale
Objet: Transmission d'un réquisitoire
Madame, Vous trouverez ci-joint le r...équisitoire que Madame Laloux, Juge d'Instruction à Mons, nous a demandé de vous transmettre. Veuillez agréer, Madame, nos salutations distingués
Frédéric Lefebvre, Inspecteur Principal
Officier de Police Judiciaire
Police Judiciaire Fédérale - MONS
Regional Computer Crime Unit

------
Cabinet de Madame Véronique Laloux
Juge d'Instruction
Arrondissement judiciaire de Mons
35, rue de Nimy, 7000 Mons
Tél: 065 35 65 36
Fax: 065 59 56 98
Dossier n° J8/06/073 - 90/drfond/10
Notices n° 40.L4.122051/06

REQUISITOIRE
Nous, Véronique Laloux, Juge d'instruction au tribunal de première instance à Mons, arrondissement judiciaire de Mons, province de Hainaut;
Vu l'ordonnance rendue ce jour;
Requérons:° Madame Jacqueline De Croÿ, fondation Princesse de Croÿ, rue Faider à 1060 Bruxelles - de procédér immédiatement au blocage ou à l suppression des liens et déclinaisons reprises ci-après:
http://maoloni.droitfondamental.eu/?p=39
http://maoloni.droitfondamental.eu/?p=7
http://maoloni.droitfondamental.eu/?p=1

- de bien vouloir traiter le présent réquisitoire en URGENCE;
- transmettre les informations sur support informatique et les transmettre directement par courrier e-mail à la PJF de Mons - section RCCU - à l'attention de Monsieur Frédéric Lefebvre, enquêteur, à l'adresse: cti.pjf.mons@edpnet.be
Dresser du tout un rapport daté et signé en ayant soin de rappeler nos références reprises sous rubriques. (réquisitoire établi en deux exemplaires signés)
Mons, le 08/04/2010
Le Juge d'Instruction V. Laloux

Réactions antérieures à la censure ordonnée par la justice
Vendredi, novembre 20, 2009
By admin

Le communiqué de presse du Comité de Soutien de Maria-Pia Maoloni sur le jour de cette audience est également censuré.

7 Responses to “Réactions antérieurs à la censure ordonnée par la justice”

«Le droit des enfants » :
Deux délégués des « Droits de l’Enfant » (Belgique) se sont présentés ce mercredi, un peu à l’avance, face à la salle H (chambre de la Jeunesse) des Cours de Justice du canton de Mons. L’huissier s’est enquis sereinement de la raison de leur présence et leur a confirmé que l’audience était effectivement publique et qu’il leur était loisible d’accéder à n’importe quelle audience de cette salle sans aucune formalité.
Après quelques minutes, ils ont vu arriver madame Cosima Marchese, grand-mère des petites Fiona et Milla, accompagnée d’une personne qui témoignera en cours du jugement qui aura lieu le 09.12.09 à Fermo, en Italie, à l’encontre du grand-père des petites. Un des délégués a d’ailleurs eu le privilège d’être agressé verbalement et agressivement par ce monsieur en présence de La Cour, soit du président du tribunal et du procureur du roi et devant les avocats respectifs (Delogne et Depétris). Ce monsieur XXX, a abordé les observateurs en leur demandant tout de go ce qu’ils faisaient là au milieu de tout le public. Ils lui ont répondu poliment qu’ils venaient en observateurs. « En observateur de quoi ? – En observateur du «Droit des enfants ». – Et de quel droit venez-vous ici m’accuser ? Comme tous les autres, là, et de celle-là, la duchesse !! Vous êtes tous avec eux, qu’est-ce que je vous ai fait ? Qu’est-ce que vous cherchez en venant ici ? » Il fut répondu à ce monsieur, comme plus tard au président du tribunal lui-même, qu’ils n’étaient pas impliqués dans l’affaire et qu’ils venaient expressément de Bruxelles, en observateurs.
Le ton du « monsieur en question » s’était nettement et agressivement élevé de façon à ce que tout le monde capte bien ses propos. Ni le président ni le procureur du Roi n’ont bougé, pas plus que les deux policiers présents, alors que l’audience était largement perturbée par ces propos. De nouveau, il fut répondu sereinement à ce monsieur qu’il ne lui était pas permis de s’adresser ainsi aux gens sur un tel ton et que rien n’était à justifier, l’audience étant publique. A ce moment, l’huissier lui a signifié de s’asseoir et lui a rappelé qu’il devait garder le silence.
A l’étonnement général, après avoir été prise en aparté par ce personnage qui n’avait pas à se mêler de ce procès, l’avocate du géniteur des petites s’est adressée au président et elle a fait la remarque que, parmi le public, il devait y avoir des personnes qui témoigneraient certainement à l’encontre de son client devant la Justice italienne et que cette situation était malsaine.
Tout le monde s’est demandé ce qu’il y avait là de malsain mais le président a alors exigé que chacun décline son identité et l’huissier est passé relever les cartes d’identité excepté aux deux délégués venant de Bruxelles puisqu’il les connaissait déjà et qu’il les savait extérieurs à l’affaire. La greffière, de façon hostile, a enregistré les identités sur l’ordinateur et a compté le nombre de présences signalant au président que le nombre de cartes d’identité ne correspondait pas. Plusieurs personnes sont alors sorties de la salle spontanément (que nous retrouverions un peu plus tard dans la salle des pas perdus, accompagnés de la presse RTL TVI). En effet, faisant l’appel, la greffière a pu déterminer que les deux bruxellois n’avaient pas remis leur carte d’identité. L’homme s’est donc levé, a présenté ses excuses au président en lui expliquant la raison de sa présence mais en s’étonnant que l’on réclame les identités dans une audience publique. Le président a répondu qu’il faisait sa police dans la salle et il l’a prié de sortir : la réponse fut polie et sans insolence « il n’y a pas de problème ». Un policier ayant exigé la carte de la présidente de « Les droits de l’enfant », celle-ci lui a répondu qu’elle l’avait dans la voiture et qu’il pouvait l’accompagner s’il le voulait. Timidement, le procureur du roi a rappelé au président qu’ils s’étaient accordés de maintenir la sérénité des débats. A aucun moment, l’avocat de la Maria Pia MAOLONI n’a réagi alors qu’il aurait dû s’élever contre l’intervention du grand-père et contre l’atteinte portée à la liberté individuelle au niveau des identités. De fait, Maria Pia n’étant pas présente, sa famille devait pouvoir, logiquement, assister aux débats.
Une fois sortis de la salle d’audience, le policier a encore exigé les cartes d’identité et l’homme s’est exécuté : il lui a alors demandé s’il voulait quand même assister aux débats et il fut répondu que non. La présidente de l’association, elle, s’est niée à aller chercher sa carte. Le policier, accompagné de son collègue, lui ont alors répondu qu’ils devraient l’arrêter séance tenante. Ainsi, la présidente et le premier policier (celui-là non armé) ont quitté l’édifice.
A la surprise générale, toutes les personnes du public, y compris madame Marchese, ont été priées de sortir et l’huissier a annoncé que l’audience était dorénavant à huis clos. Plus surprenant encore, le géniteur des petites et son père sont néanmoins restés, ainsi que leur avocat, pour le jugement de ce recours présenté par Maria Pia Maoloni contre la remise de ses enfants au «père » et contre le non respect de ses droits de communication avec ses enfants depuis que ces personnes en ont officiellement la garde, soit près de trois ans maintenant (1040 jours).
Il faut ajouter que le grand-père à qui l’on a demandé de présenter sa carte d’identité et qui a dit ne pas l’avoir sur lui, n’a pas été tenu, lui, «d’aller la chercher » et qu’il a pu rester dans la salle simplement en disant qu’il était le grand-père (sort que n’a pas connu Cosima Marchese, la grand-mère maternelle). Les exigences légales mises en avant pour les Maoloni devraient tout de même s’appliquer à tous : il est tout à fait inacceptable que les « deux poids, deux mesures » que nous constatons depuis six ans continuent ainsi dans un déni de justice permanent.
La journaliste, Sophie de Brabandere, accompagnée de son caméraman, nous a demandé comment il était possible que cela se déroule ainsi. Nous avons répondu qu’il y avait déjà six ans que cela se passait ainsi et que nous avions déjà dû présenter notre carte d’identité en plusieurs occasions et que certains de nous avaient même déjà été fouillés sous prétexte (invoqué par la partie paternelle) que nous étions « dangereux et armés » ! Nous avons communiqué notre impression que ces personnes se jouaient ainsi de la Cour à chaque fois avec des caprices invraisemblables et que leurs souhaits se voyaient chaque fois exaucés. Nous avons fait remarquer que les grands-parents maternels n’avaient plus jamais pu voir leurs petites-filles et vice versa et que se violait là, carrément, la convention des Droits de l’Homme car ce dernier droit est inaliénable : les petites filles ont été, en différents moments, placées de longues périodes en institution, alors que les grands-parents maternels pouvaient tout à fait légalement se les voir confier. Nous avons rappelé que le grand-père avait été condamné deux fois pour trafic de faux tableaux mais que, surtout, il était en cours de procès au pénal en Belgique et, plus sérieusement, en Italie, pour viols sur ses petites-filles, prostitution enfantine et détention de matériel pédo-pornographique.
Une fois l’audience terminée, Cosima Marchese et la témoin ont pu s’entretenir avec l’avocat de Maria-Pia, maître Delogne, et nous nous sommes retrouvés chez les grands parents maternels pour commenter l’après-midi que nous venions de vivre.
Nous nous sommes tous entretenus avec Maria Pia par téléphone ainsi qu’avec Nancy André, présidente de « Solidarité Rapt International ».
Les personnes appartenant au comité de soutien de Maria-Pia Maoloni et de ses filles savent que le grand-père XXX a exercé des pressions et proféré des menaces à différents témoins tout au long des six dernières années. Plusieurs personnes du public qui sont sorties au moment de la prise des identités, l’ont fait par crainte que leur identité soit communiquée à ce personnage, de crainte aussi de représailles de sa part, sur eux ou sur leurs enfants. Une des personnes du comité a signalé que, le soir même du jour où Maria-Pia avait quitté le sol belge pour se rendre en Italie chercher de l’aide, il avait découvert que son bureau avait été systématiquement fouillé. L’avocat alors compromis dans la défense de Maria-Pia, Jean-Maurice Arnould, s’est avéré être secrétaire de la société «Maison Losseau» à travers laquelle [le grand-père] a écoulé quelques-uns de ses faux. Il ressort très clairement de plus qu’il a insisté sur le fait que «l’on poussait Maria Pia à l’illégalité». La partie adverse ayant été avertie d’un «rapt d’enfants», la police judiciaire avait diligenté un mandat d’arrêt européen à l’encontre des victimes et une arrestation s’en est suivie dans les Marches, en Italie, sur la personne de Maria-Pia. Par la suite, cependant, les tribunaux italiens ont donné raison à Maria-Pia Maoloni (en appel et en cassation) et ont ainsi débouté les requêtes du tribunal de Mons. Depuis lors, ces mêmes tribunaux italiens ont inculpé le grand-père paternel, d’origine italienne, et un procès a été initié à son encontre. De même, une requête de renvoi en justice pour les mêmes faits d’inculpation a été déposée à l’encontre du père (géniteur des petites Fiona et Milla). Actuellement, le procès d’inculpation contre le grand-père a commencé depuis le 23.09.09 ; la procédure d’enquête sur le père est en cours.
Le comité de soutien, 18.11.09
  1. Louis Le Tallec
je soutiens cette cause
  1. Jeanne Comte-Gaz
Ceci est inadmissible. J’ai l’impression que le pere ainsi que le grandpere savent quelquechose sur quelqu’un d’assez haut place. Si ce n’etait pas le cas cet histoire serait resolu depuis longtemps.
4. Cécile
C’est une honte pour la Belgique, que de laissé la mafia italienne s’insérer dans leur Pays et de laisser deux petites filles se faire violer par leurs grand-père et père, et par peur de quoi ???
5. Annick Rault
Bonsoir
Je suis de l’ile Maurice ou les Tribunaux sont aussi tres corrompues sur le chapitre de la pedophilie. Ils s’organisent systematiquement en faveur des predateurs des qu’un « grand » patron d’entreprise ou du gouvernement y est implique. Mon epoux, Directeur de compagnie, et en contact regulier avec nos ministres locaux et aussi avec les grands de note economie locale, supris en flagrant delit d’attouchements sur notre petite fille de 4 mois a l’epoque des faits, arrete par la police et relache sous caution, est aujourd’hui lave de toute accusation. Des certificats de legistes et des photos de notre bebe blessee au sexe par son pere sont dans les dossiers de la police, ainsi que des evidences de son affiliation a de de nombreux sites pornographiques pedophiles. A aucun moment mon temoignage ou celui des medecins qui ont constates le crime n’ont ete requis par la cour. Pire, un divorce a ete prononce a MES torts recemment, et mon ex epoux est libre de prendre sous son toit notre enfant de 4 ans. En fait mes hommes de loi en connivence avec ceux de mon epoux semblent s’etre concertes pour m’eloigner des tribunaux le jour de la prononciation de mon divorce. J’en suis au stage ou j’essaye de lutter avec mes certiicats de legistes pour empecher que notre petite se retrouve seule avec son pere, mais je garde peu d’espoir que la lutte s’arrete un jour. Je continue mon combat, et lutterai jusqu’a la mort pour ma fille.
6. renaud
Il est clair désormais que la pédocriminalité s’est infiltré dans les cercles élitistes de la société : magistrats, hommes politiques, universitaires, hauts gradés de la police etc…
comment expliquer autrement « leur » attitude s’ils n’étaient pas mis eux mêmes en cause par cette affaire ( ces affaires devrais je dire, car des réseaux de pédophiles qui ont toute impunité, et pour cause !,il y en a dans tous les pays)
7. Agnesina Pozzi
E’ davvero vergognoso che un Giudice imponga il silenzio su quanto Maria Pia Maoloni, mamma di Fiona e Milla denuncia. Mi chiedo che salute emozionale possano avere certi giudici comportandosi forse in modo tanto anomalo da destare serie preoccupazioni sulla qualità del loro operato, e cosa possano garantire a due bimbe affidate ai loro aguzzini e private invece da TRE ANNI DEL CONTATTO CON LA MAMMA.
Non ho parole, sono sconcertata! E se in Belgio ci saranno tante brave persone è altrettanto certo che si anche l’isola felice dei pedofili, vita la cronaca e gli sviluppi…
Qualcuno davanti a Dio, sommo giudice, dovrà un giorno rendere conto di quanto ha deciso, in spregio di qualunque diritto elementare che ogni Costituzione difende. Fiona e Milla sono due bambine private dell’infanzia, della mamma, dell’innocenza, e della giustizia terrena. Silenziare è il modo migliore per mettere solo la testa sotto la sabbia ma ormai è tardi, il mondo di internet non può essere tacitato da nessun giudice…
Agnesina Pozzi

Censure belge sur l’affaire Maoloni

Mercredi, avril 14, 2010
By Presidente
La justice belge de Mons vient d’ordonner la censure du blog de l’affaire Maoloni. Nous avons donc reformulé l’histoire, sans nul autre noms que ceux des acteurs du pouvoir judiciaire, les seuls dont nous vous demandons de juger du comprtement.
Le couple vivait près de Mons, en Belgique, avec leurs deux petites filles et s’aimaient comme tout jeune couple. Lui est éducateur dans un centre pour enfants handicapés près de Charleroi et elle, enseignante en psychologie dans le supérieur, dans la région de Mons. Le grand-père paternel est un trouble personnage, condamné dans l’affaire Glineur-Debouche, pour trafic de faux tableaux en 1998 et 2006 avec la complicité d’avocats, d’un notaire et autres notables dans la région de Mons et Bruxelles.(*1)
Le mariage bascula en janvier 2004, suite aux révélations de Fiona, l’aînée, qui reproche à son père et son grand-père paternel des abus sexuels. Elle dit avoir été abandonnée aux abus d’autres hommes, dans un endroit luxueux où il y avait d’autres enfants. Maria-Pia découvre des centaines de photos d’enfants sur l’ordinateur de son époux, et en ce compris de pornographie et de torture.
Le père traita sa fille de menteuse et quitta le domicile conjugal dans la semaine. Il porta plainte contre sa femme pour aliénation parentale, le jour de son départ. Il reviendra quelques jours plus tard, accompagné de son père et d’un serrurier, pour dérober l’ordinateur portable et d’autres appareils vidéo. Maria-Pia porta plainte contre son époux et son beau-père pour viol et attouchements sur mineurs, ainsi que pour vol. Les deux hommes ont eu interdiction de voir les enfants en dehors de « l’espace rencontre ».
Les deux petites filles ont été placées en institution en décembre 2004 durant six mois, sous prétexte que la mère « pourrait devenir dangereuse si une autre vérité [judiciaire] se faisait jour ». Cette vérité, la voilà : Les enfants auraient eu beaucoup d’imagination. Leur mère aurait été coupable d’aliénation parentale, un crime inexistant en droit belge, et leur aurait « elle-même infligé les blessures ». Les images des sexes d’enfants cousus sur l’ordinateur du père ne relevaient pas de pédopornographie.
La justice montoise avait désigné le centre C-Bex de Charleroi, où des jeunes psychologues avaient abondé dans le sens du père. Maria-Pia consulta le Dr Golzbergun, médecin psychiatre renommé à Bruxelles et expert auprès des Tribunaux, qui établit suite six visites, et un examen approfondi de sa personnalité, qu’elle est parfaitement normale. Dr Hebborn, un autre médecin psychiatre, de Bruxelles, également consulté volontairement et régulièrement pendant la période de placement des enfants, rejoint l’avis de son confrère et attesta aussi de sa normalité.
A leur sortie de l’institution, en juin 2005, la garde principale des enfants est maintenue chez la mère moyennant un droit de visite au père, un week-end sur deux et la moitié des vacances, mais interdisant tout contact avec les grands-parents paternels. Quelques mois plus tard, Fiona et Milla pleurent et disent qu’elles ont mal en revenant de chez leur père. Leur mère les amène chez un gynécologue. Elles souffrent de vulvites et de fissures anales, preuve d’abus sexuels. La Justice montoise accuse les médecins d’avoir fait des certificats de complaisance !
Le Dr Murillo Perdomo, docteur en psychologie et expert auprès des Tribunaux, a fait le suivi psychothérapeutique de Fiona pendant plus d’un an. Il a signalé au Parquet de Mons, que les enfants étaient en danger en présence de leur père et dans le milieu paternel. Le tribunal refuse de l’entendre, même quand il se déplace personnellement à l’audience, pour la protection de ces enfants. En réponse, la justice belge plaça les enfants en institution durant les vacances d’été 2006, sous prétexte d’un « entêtement de la mère à vouloir prouver ce qui n’était pas ».
Le 4 octobre 2006, Maria-Pia qui assumait légalement la garde de ses filles, les emmena en Italie. Il ne fallut que quarante-huit heures à la justice belge pour lancer un mandat d’arrêt international, l’accusant d’enlèvement parental, alors que les lois internationales ne considèrent l’enlèvement parental qu’après cinq jours.
Maria-Pia a été jetée dans une prison italienne durant quatre jours, puis assignée à résidence pendant deux semaines. Les petites filles sont placées dans une institution. Elles ne reçoivent l’autorisation de voir leurs parents qu’au bout de trois mois, à raison d’une fois tous les quinze jours, à tour de rôle.
Le tribunal italien condamna la mère, sur base du jugement belge. La Belgique accorda l’exclusivité des droits parentaux au père, sur base du jugement italien, ce qui n’en est pas moins illégal, puisqu’il n’avait pas encore répondu des abus sexuels qui lui étaient reprochés.
En octobre 2006, la Cour d’Appel italienne décrèta qu’il n’y avait aucun fait constitutif d’enlèvement parental. Mr Dehalu, le Procureur du Roi de Mons, se déplaça jusqu’à Rome en novembre 2006. Peine perdue: la Cour d’Appel interdit, en décembre 2006, le rapatriement des enfants, qui était prévu de se faire dans un avion militaire belge ! (*)
En mai 2007, le Tribunal des Mineurs italien autorisa l’extradition des enfants. L’année d’après, en mai 2008, la Cour de Cassation casse le jugement, ce qui signifie que la Cour Suprême italienne considère que le rapatriement des enfants en Belgique était illégal, et que la mère n’avait pas enlevé ses filles.
En décembre 2008, le grand-père ayant gardé la nationalité italienne, la justice italienne l’inculpe pour possession de pédopornographie, prostitution et abus sexuels des enfants sur l’aînée des petites-filles, alors que la justice belge vient de le libérer. Une instruction identique est diligentée contre le père parce qu’ils sont accusés des mêmes faits, mais cela nécessite des démarches plus complexes, parce qu’il est de nationalité belge.
La justice belge persiste à interdire les contacts entre la mère et ses filles, même par téléphone, une situation qui perdure depuis mai 2007… presque trois ans !

Organismes civils de la protection de l’enfance et sénat

En Belgique, le célèbre service de « mesures préventives vis-à-vis de parents, ou même d’enfant une fois alerté d’un cas potentiel de l’exploitation sexuelle » de Child focus, centre européen d’enfants disparus et sexuellement exploité, envoya Maria-Pia chez SOS-ENFANTS de Mons, lesquels n’ont jamais été disposés à la recevoir. La presse belge maintient l’omertà. La justice belge impose la censure de l’histoire des anciens époux, dont les noms couvrent la presse italienne depuis novembre 2006.
Maria-Pia est régulièrement invitée sur des plateaux de télévisions italiens. Plus de onze mille italiens ont signé une pétition pour leur protection des petites filles belges avant leur extradition. Les associations Italiennes sont descendues dans les rues : les marches de protestations se sont succédées, y compris devant l’ambassade de Belgique à Rome, le 20 juin 2007. Le Sénateur italien Antonio Gentile a posé à Clemente Mastella, à l’époque Ministre de la Justice italienne, une question parlementaire, sur les éventuelles « pressions de la Belgique », qui étaient présumées avoir été opérées lors d’un voyage de son homologue belge, qui était Laurette Onkelinx, à l’époque. Maître Taormina, un avocat célèbre en Italie, a décidé de prendre en main, la défense des intérêts de la mère de ses filles, et par là, de déclarer la guerre à la pédophilie au niveau européen.

VIDEOS A VOIR

DAILYMOTION
YOUTUBE
MESSAGE DE LA MAMAN A SES FILLES :

ACTION

PÉTITION:
CAUSE FACEBOOK POUR FIONA ET MILLA:
COMITE DE SOUTIEN ET D’ACTION POUR FIONA ET MILLA (COSAFM) :
COMMENTAIRES
  1. anne marie cherignyAboutayab
this must be considered by the court of Human rights she should present her case
#105
  1. Freour christine
Comment peut-on laisser après les accusations des fillettes Fiona et Milla Antonini vivre avec leursvioleurs; Ou est l’acte de justice que de condamner une maman qui essaie de les en sauver ( enlévement parental ; je ris). N’est-il pas normal pour une mère ( ou un père) d’éloigner et de surtout préserver de l’ignominie et de l’horreur ses enfants. Alors là ! Je ne comprends pas!! Juste une question de diplomatie et de lois régissant pays à pays! A vomir!!!!!!!!!!!!!!!
#106
  1. boukhari samia
la justice belge serait elle complice ? serait elle invitée dans ce fameux chateaux ? tout cela ne me m’étonnera pas
#107
  1. khaled1954
Comment peut-on laisser après les accusations des fillettes Fiona et Milla Antonini vivre avec leurs violeurs; Ou est justice que de condamner une maman qui essaie de sauver ses enfants?. N’est-il pas normal pour une mère ( ou un père) d’éloigner et de surtout préserver de l’ignominie et de l’horreur ses enfants. Alors là ! Je ne comprends pas!! Juste une question de diplomatie et de lois régissant pays à pays! A vomir!!!!!!!!!!!!!!!? C’EST LA CULTURE OCCIDENTALE
#111
  1. BUXERAUD
Etant maman je reste écoeurée, attristée et un sentiment d’impuissance pour cette maman. Comment peut on après tous ces exemple ne pas réagir. XXXXXXXXXXXXXX. Cela m’insupporte rien que de savoir que ces fillette soient entre les mains de cet individu pervert. Une bonne partie de leur vie gachée ainsi que celle de la maman pour qui je vais prier. Cessons cette tragédie
#115
  1. MAOLONI MARIA PIA
SVP AIDEZ-MOI A DIFFUSER CE MESSAGE… PARTOUT SUR INTERNET, VOS SITES, VOS BLOGS ET A’ TOUS VOS CONTACTS. LES AUTORITES BELGES ONT DESACTIVE’ TOUS MES BLOGS. VOICI LE NOUVEAU QUE JE VIENS DE CREER. MERCI INFINIMENT (31/05/2010)
BLOG POUR SAUVER FIONA ET MILLA CONTRE L’ENFER DE LA PEDOCRIMINALITE’;ENFANTS-VICTIMES DE VIOLENCES SEXUELLES ET PROSTITUTIONS ET PRIVEES DE LEUR MERE ET DE TOUTE LA BRANCHE MATERNELLE DEPUIS 3 ANS!!!!
MON NOUVEAU BLOG:
POUR FIONA ET MILLA ANTONINI
TELEPHONE MAMAN PIA: 0039 366 199 22 26
SEUL ESPOIR POUR UN CONTACT AVEC MES ENFANTS DONT JE RESTE SANS NOUVELLE DEPUIS PRESQUE 3 ANS: DIFFUSEZ CE NUMERO PARTOUT SUR LE NET ET A’ TOUS VOS CONTACTS :0039/366/199 22 26
AIDEZ FIONA ET MILLA A ME CONTACTER… JE N’AI PLUS DE NOUVELLE DE MES ENFANTS DEPUIS 3 ANS
MESSAGE POUR MES DEUX ENFANTS:
FIONA ET MILLA ANTONINI,
MES CHERIES, MES ENFANTS,
Voici le numéro de téléphone sur lequel vous pouvez me joindre:
0039/366/199 22 26
Je n’ai plus de nouvelle de vous depuis presque 3 ans! Maman ne vous abandonnera JAMAIS!
Sachez que je fais l’impossible pour obtenir des contacts avec vous, ainsi que toute ma famille, mais votre père, le SPJ de Mons (directeur: bensaida taoufik) et le tribunal de Mons nous empêchent d’avoir ces contacts avec vous!
Je vis en Italie et je ne peux pas retourner, pour le moment, en Belgique car il y a un mandat d’arrêt pour enlèvement d’enfant contre moi, émis par la Belgique. Ce mandat d’arrêt a été jugé comme non fondé par l’Italie mais la Belgique ne veut pas l’annuler. De cette façon, ils nous maintiennent séparées : vous en Belgique et moi, en Italie. Mais sachez que rien ni personne ne pourra nous empêcher de nous aimer!
L’AMOUR EST PLUS FORT QUE TOUT MES CHERIES N’OUBLIEZ JAMAIS QUE JE VOUS AIME A L’INFINI!!!!
Votre maman chérie, MAOLONI Maria-Pia
(Ce numero de téléphone est strictement réservé à mes enfants. Si vous souhaitez me contacter, merci de bien vouloir m’écrire à l’adresse email suivante: mariapia@live.fr)

Censure belge du procès d’un italien en Italie

Mercredi, avril 14, 2010
By admin
La justice belge ordonne la censure de l’information sur le procès d’un italien inculpé en Italie, pour l’abus sexuel d’une enfant et la possession de pédopornographie en Belgique. L’intérêt de l’information repose ici sur la différence entre le traitement de ces affaires en Belgique et en Italie. A gauche, Maria-Pia pleure, effondrée de douleur, parce que la justice belge lui a fait espérer qu’elle pourrait enfin parler à ses filles au téléphone, mais cela lui a à nouveau été interdit. Ci dessous, l’humanité du tribubal italien.

Censure sur les directives de la politique criminelle du ministre de la justice belge

Mercredi, avril 14, 2010
By admin
Le tribunal belge dont la neutralité sera examinée par la Commission des Pétitions du Parlement Européen prochainement, censure un reportage sur une audience particulièrement imagée en le domaine. Nous modifions l’article afin de n’y laisser paraître que la neutralité du tribunal dont, selon la loi belge, les poursuites dépendent des « directives de la politique criminelle du ministre de la justice et du conseil des procureurs généraux ».

CENSURE ORDONNEE PAR LA JUSTICE DE MONS/BELGIQUE, POUR LE SITE CEMAB
http://www.cemab.be/news/2009/05/7299.php

Une grave affaire de pédophilie frappe la Belgique et l'Italie! by Francoise Martin Thursday, May. 28, 2009 at 1:24 AM
Suite à un réquisitoire de la juge Véronique Laloux, juge d'instruction dans l'arrondissement judiciaire de Mons, cet article a été supprimé.
Un réquisitoire permet à un juge d'obliger, sous peine de prison et d'amendes, l'administrateur d'un site à retirer, bloquer l'accès à, ou modifier un article. De façon surprenante, le législateur n'a pas, semble-t-il, prévu de possibilité de recours.

Nous avons donc demandé plus d'informations. Il nous a juste été répondu qu'il s'agissait d'un problème de diffamation. Aucune autre explication n'a pu être obtenue.

Une proposition (supprimer les noms présentés dans l'article, sauf ceux des responsables et intervenants de la justice) a été rejetée, sans fournir de raison.

Nous retirons donc à regret cet article.
CENSURE PAR LA JUSTICE DE MONS/BELGIQUE, DE TOUS LES BLOGS DE LA MAMAN, MAOLONI MARIA-PIA

Tous mes blogs ont été désactivés du jour au lendemain et sans aucun avertissement au préalable!!!! Mes blogs ont été créés dans le seul but de dénoncer les crimes des abus sexuels et de la prostitution commis par le père (ANTONINI ROCCO) et le grand-père paternel (ANTONINI ROBERTO) sur mes enfants, Fiona et Milla.


LES BLOGS SUIVANTS ONT ETE SUPPRIME'S:

http://sauvons-fiona-et-milla.blogspot.com/
http://salvarefionaemilla.blogspot.com/
http://savefionaandmilla.blogspot.com/
http://fiona-milla.blogspot.com/
http://mamanpia.nipox.com/
http://pia.nipox.com/



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